Rubén Rivero Capriles

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Marches et protestes aux É.-U.

Selon ma qualité d'observateur étranger, je suis dérangé de voir que les marches et protestes gagnent de la popularité aux États-Unis. Cela reflète une déconnexion plus grosse entre les gens et leur gouvernement. Dans mon cas vénézuelien ce genre de marches s'est produit sans cesse depuis le début de ce vingt-premier siècle, mais aucun bénéfice s'est produit pour n'importe quelle des parties au jeu. Je regarde les marche comme un perte de temps et de ressources, comme une forme de loisir  pour les masses qu'éventuellement nous rapporte une fatigue générale. Les protestes récentes aux États-Unis sont allusives au débat du soin médical, mais elles versent aussi sur l'inflation, les impôts et les dépenses énormes du gouvernement fédéral. Les marches pourraient aussi inclure de la propagande payée. Les gens sont payés couramment aux pays du tiers monde pou protester contre ou en faveur de nombreuses questions. Quelle est alors une bonne voie pour protester contre la mauvaise gérance économique? Une autre manière populaire de protester est de faire beaucoup de gens aux idées similaires publier leurs plaintes dans des pages réseau d'une niche étroite que seront lues seulement par leurs sympathisants. Il me semble que maintenant il y a plus de moyens pour protester qu'autrefois mais leur effectivité par regard à un changement positif aux politiques publiques est négligeable. 

Les paragraphes partout cet article incluent des visions juxtaposées, éditées et isolées offertes par plusieurs personnes, en incluant Mary Los et ses amis, Kyrriell Noon et ses amis, et E. Varick Wettlaufer. Leur contribution n'est pas nécessairement transcrite au contexte. L'édition de ces phrases et la décision de leur ordre dans ce texte représenta pour moi un cauchemar mineur. Je me limite simplement à conclure au dernier paragraphe que la présente polarisation étasunienne grossit pour l'insatisfaction de tous.

Beaucoup des étasuniens ne comprennent pas pourquoi se déroule un débat sur les soins pour la santé et l'assurance de santé. Ils argumentent que même si une personne est assise confortablement et n'a pas un besoin personnel pour des politiques publiques meilleures, l'accès ne devrait pas être nié aux autres gens moins fortunés. À leur avis, les soins pour la santé devraient être considérés comme un droit de leur nationalité, et la responsabilité devrait être pour tous les étasuniens celle de payer leur morceau juste. Ils songent que ceux fortunés doivent apprendre une vie plus simple pour que les autres puissent vivre simplement. Même si des fortunes ont été gaspillées, beaucoup d'étasuniens n'ont pas reçu des soins de santé car ils n'ont pas pu les payer. Bien d'autres pays industrialisés offrent des soins de santé financés par l'état et le système paraît fonctionner convenablement. Donc en théorie le nouveau système de soin de santé aux États-Unis devrait aussi fonctionner. La gauche argumente que la droite est terrifiée dans une rage impuissante, en criant «Feu!» dedans un théâtre saturé, dilapidé et dépravé, et que la droite n'a pas une jambe pour se poser, ni des évidences pour ses refus, ni des solutions alternatives.

Il y a aussi un appui significatif pour les détracteur de la reforme du système de la santé. À leur avis les fonds publiques pour ce but résulteront en une bureaucratie dont les patients attendront pendant des heures aux cliniques manquant de suffisant personnel et recevront un service mauvais. Il y a aussi le thème sur le lavage de cerveaux, probablement agréé par beaucoup aux deux bouts du spectre politique. Beaucoup de gens aux États-Unis sont accusées d'être heureux à croire tout ce qu'on leur dit. Combien de penseurs libres y a t'il aux États-Unis? Des exagérations anecdotiques estiment au 5% la population qui fait l'effort de penser à eux-mêmes, et le reste sont alimentés aux pensées transmises par les réseaux de télévision, lesquels à leu tour sont alimentés au contenu venant de quiconque paie leurs factures. Les masses alors s'assoient pour absorber des messages sans de la valeur. D'autres évidences anecdotiques suggèrent une hausse des expatriés étasuniens qui ont obtenu des visas de résidence à l'étranger, car ils regardent leur pays en train de bouger dans une direction incorrecte.

Un lecteur de mon article récent «Tax and spend vs. don't tax but spend just as much» demanda: «quelle est la crédibilité

 d'un commentateur vénézuelien lors de ses commentaires sur la scène politique américaine?» À ce moment là je lui répondis   que j'ai autant de crédibilité que le soin que je pris pendant la compilation de la recherche sur de nombreuses sources. J'ai vécu aux États-Unis pour presque sept ans et je me renseigne quotidiennement sur les événements du pays au réseau. Je n'ai pas eu l'intention lors, et je ne prétend non plus d'offrir une prescription ou  prognosis. Cela est entièrement au tour du lecteur ou de la lectrice. Cependant, dans cette occasion je peux répondre avec confiance davantage. Comme la plupart des autres latino-américains qui avons vécu des problèmes similaires, et à différence de nos gouvernements inefficaces, nous sommes en mesure de donner notre avis selon notre expérience locale au sujet des problèmes des États-Unis aujourd'hui. Quelle nation ne profite pas des opinions, perceptions et analyses des observateurs au dehors? Les expériences peu fortunées des étrangers devraient leur servir comme exemple pour épargner aux étasuniens de nouvelles folies politiques.    

 

Rubén Rivero Capriles, Rivero & Cooper, Inc.

Version originale à Caracas, le 17 septembre 2009

Traduction française par l'auteur le 22 septembre 2009 

 

 

Externalisation conceptuelle vers le tiers monde

 Je suis fasciné sur vos remarques concernant le Vénézuela, et comment les trois questions s'applient là-bas.

Je pense de toute façon que, dans une partie importante du monde, le ralentissement ne répresente pas la fin de l'abondance, mais mèrement une forme lègerement réduite pour celle-ci. Particulièrement aux pays comme les États-Unis, le niveau de vie matériel continue rémarquablement haut. Ajoutez les consommateurs qui se sentent pincés pour de l'argent et du crédit, et cela simplement incremente l'urgence pour arriver à un bond conceptuel substantiel pour l'innovation en lieu de plusieurs pas incrementaux.

Vous posez aussi une importante question sur le Cuba. Je pense qu'elle sera une des places les plus fascinantes du monde après la partie des frères Castro, quand les pleines capacités du pays seront liberées.”

Daniel Pink, auteur de l'homme aux deux cerveaux, au sujet du texte suivant.

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Cet essai miniature conclut mes observations sur l'homme aux deux cerveaux de Daniel Pink, lesquelles furent exprimées dans ma dernière soumission de blog “Tiers monde et l'âge conceptuel.”

Les travaux du cerveau droit, ajoutés aux travaux du cerveau gauche, peuvent être aussi externalisés depuis le premier monde vers le tiers monde, particulièrement vers l'Amérique Latine et l'Afrique, en raison de leur moindre coût du travail et parfois une meilleure qualité dans des cas sélectionnes. Cela se doit parce que contrairement au premier mode, nos qualités du cerveau droit ne s'atrophièrent pas en raison d'un excès de travail du cerveau gauche pendant des siècles. Je suppose que cette externalisation du cerveau droit se développe déjà vers le Mexique. Donc l'externalisation depuis le premier monde vers le tiers monde pourrait continuer pour n'importe quel genre de travail, et pas seulement pour les petits boulots du cerveau gauche. Cependant, des niches spécifiques peuvent être gardées en sûreté aux salaires du premier monde, requérant des combinaisons spécifiques des deux parties de l'activité cérébrale.

Un exemple clair vient des docteurs. De nombreux patients californiens voyagent au Mexique pour visiter, à bon prix, les docteurs qui suivirent un bon entraînement du cerveau droit à l'université dans leur pays et puis complétèrent des spécialisations du cerveau gauche aux États-Unis. Les docteurs vénézueliens qui cherchent une qualité de vie supérieure aux États-unis partagent ce profil.

Les travailleurs en Inde sont amplement motivés pour exceller aux travaux externalisés du cerveau gauche. Je ne connais pas assez la culture indienne, mais je devine qu'ils conclurent que des millénaires d'accentuation au cerveau droit faillirent pour leur fournir l'abondance qu'ils aspirent, donc les indiens sont en train lentement de surmonter cette manque.

L'homme aux deux cerveaux de Daniel Pink établit un questionnaire rassemblant une routine du cerveau gauche pour n'importe quel genre d'effort aux affaires. J'essayerai de le répondre sur la base de mon environnement spécifique vénézuelien:

Question 1) La réponse pour «est-ce qu'on peut épargner en produisant à l'étranger?» est oui pour à peu près toutes les industries vénézueliennes à l'exception du pétrole. Nous souffrons un régime de contrôle d'échange des devises forçant les exportateurs à convertir leurs dollars au taux officiel de 2,15 bolivars, quand le taux d'échange du marché se situe vers le triple de cette valeur. C'est à dire qu'un produit vénézuelien est compétitif ailleurs seulement s'il peut être produit localement à moins de 30% du coût de production pour le même produit au reste de la planète. Nous sommes en train de devenir des importateurs nets de café! Nous importons beaucoup d'aliments par la même raison. Les industries manufacturières locales migrent en Colombie, au Panama, au Costa Rica et au Brésil. En conséquence nous sommes sans espoir jusqu'à l'occurrence d'un changement exogène des systèmes régulatrices gouvernementales.

Question 2) Au cas du Vénézuela seulement la question «est-ce qu'un ordinateur peut le produire plus économiquement?» peut être répondue de façon similaire para rapport aux autres pays.

Question 3) La question si «est-ce que mon produit satisfera les besoins d'un âge d'abondance?» doit être reversée dans mon pays. Le PIB par habitant se réduisit substantiellement pendant ma vie. Aux années 60 et 70 la plupart des gradués universitaires obtenait un emploi et pouvait acheter un foyer confortable à crédit. Aujourd'hui, bien des personnes d'âge moyenne continuent à vivre chez leurs parents. L'achat de nourriture constitue vers la moitié du revenu pour la plupart des gens, en raison d'un des plus haut taux d'inflation du monde. Je me rappelle quand j'étais petit qu'il s'agissait d'une période d'abondance, mais maintenant c'est sans doute un âge de pénurie. Je ne sais pas quelle, au milieu de cette situation locale, serait une reformulation appropriée de cette question numéro 3.

Donc, les vénézueliens avons besoin d'applier beaucoup de créativité du cerveau droit pour arriver à une “recette de questionnaire pour le succès” spécifique à notre situation. Peut-être nous n'arriverons point à rédiger une telle recette couramment.

L'accentuation récente des qualités du cerveau droit est pertinente à la situation de l'Amérique du Nord. Mais je ne suis pas sûr comment l'âge conceptuel pourra s'établir conclusivement au premier monde, dans ce climat de globalisation et imigration illégale, quand de nombreux pays se débrouillent encore parmi la pénurie. Je pense sérieusement que la supposition d'abondance n'est pas valide. Le monde est encore trop loin d'être un lieu d'abondance. Il serait intéressant de voir si les cubains au Cuba, s'ils avaient le droit de parler librement, ajouteraient quelques remarques sur ceci.

Un thème d'étude ultérieur serait découvrir s'il y a des activités du cerveau gauche que manquent autour du monde pour accomplir la supposition d'abondance pour que l'âge conceptuel puisse renverser l'âge de l'information.

Rubén Rivero Capriles, Rivero & Cooper, Inc.

Version originale à Caracas, le 15 septembre 2009

Traduction française par l'auteur le 20 septembre 2009

Tiers monde et l'âge conceptuel

 

Le triomphe récent de la candidate vénézuélienne au concours de Mademoiselle Univers, pour une deuxième fois consécutive, exemplifie selon mon opinion un bon mélange d'entraînement provenant du cerveau gauche et une réponse synthétique du cerveau droit. Elle a dû endurer presque une année de préparation méthodique comme une athlète olympique, car ce pays est bien connu à sa seule industrie privée compétitive globale, la Mademoiselle Vénézuela. Elle fut interrogée pourquoi les femmes doivent encore lutter contre le plafond de verre aux corporations. Elle nia le problème dans sa réponse, lors de sa conclusion que les femmes comptent déjà avec les mêmes opportunités d'affaires que les hommes. Cette réponse vient d'une fille de dix-huit ans qui est née aux années quatre-vingts-dix, elle a vu plusieurs secrétaires d'état des États-Unis en service pendant sa vie avec la seule exception de Colin Powell.

 

Les gens de notre génération, qui sont nés aux années 80, 70 ou 60 et avant, expérimentèrent un choc avec cette réponse audace en raison des analyses et statistiques du cerveau gauche sur la discrimination féminine, donc beaucoup de monde a dit que le concours Mademoiselle Univers 2009 était déjà décidé en faveur de la candidate vénézuélienne. Je suis surpris aussi par sa couronne, je pensais qu'il y avait des femmes plus jolies selon les standards préconçus; en effet je n'attendais point qu'elle deviendrait une finaliste au concours de Mademoiselle Vénézuela l'année dernière. Ceci nous montre que Stefania Fernández dispose d'une habileté consistante pour renforcer ses qualités et pour améliorer les premières impressions des gens pendant les étages finals cruciaux aux concours de beauté. C'est vraiment la première fois que j'écoute une femme disant que la discrimination féminine est quelque chose du passé. Sa conclusion, à mon avis, consista en une bonne utilisation de son cerveau droit pour noter un changement des patrons d'opportunité sociale. Je crois que cette réponse définitive et créative l'aida pour gagner le concours.

 

Beaucoup de latino-américains, en disposant de leurs habiletés du cerveau droit comme un milieu de survivance fondé sur l'archétype picaresque, sont maintenant des immigrants qui réussissent en Amérique du Nord aujourd'hui en raison de cet avantage du cerveau droit. Mais les procédures du cerveau gauche, les analyses et les méthodes du cerveau gauche léguées par les âges industriel et de l'information sont comparativement faibles parmi nos sociétés locales. Bien d'immigrants et investisseurs provenant du monde développé réussissent ici, car leurs habiletés du cerveau gauche leur aide pour transmettre un certain ordre dans ces sociétés plutôt chaotiques en Amérique Latine avec des systèmes politiques étranges. Le Vénézuela se trouve dans un état de développement qui a encore besoin de plusieurs habiletés du cerveau gauche pour produire de l'abondance.

 

Le concept de l'abondance est à peu près juste en tenant compte des limitations dans mon environnement vénézuelien. Le livre L'homme aux deux cerveaux de Daniel Pink se focalise en Amérique du Nord, l'Europe Occidentale, le Japon, l'Australie et la Nouvelle Zélande, donc je partage ici en outre les spécificités de ma part du monde. Nous sommes bénis avec l'argent du pétrole, les Vénézueliens certainement disposons de beaucoup de centres commerciaux et de nombreuses offres de consommation comme s'il s'agissait du monde développé, mais à des prix bien plus hauts vis à vis notre revenu. Donc la plupart de notre population habite encore en pénurie. Cependant, au réseau nous nous rendons compte de toute l'abondance matérielle disponible au monde développé. Les vénézueliens qui vont faire des courses pour la fin de semaine à Miami voyagent avec une liste soigneusement sélecte de ce qu'ils ont besoin. Ils gèrent de sages décisions d'achat pendant le temps limité quand ils sont présents physiquement aux États-Unis pour ce but.

 

Les postulations d'emploi au monde développé, à nos jours, précisent remplir des formulaires répétitifs en ligne pendant des heures, des curriculum vitae et des lettres de présentation dans des formats spécifiques à la façon du cerveau gauche. Je ne suis pas sûr si cette méthode résistera à l'épreuve du temps, car la créativité est complètement licenciée aux postulations d'emploi à nos jours. Vos habiletés artistiques du cerveau droit sont pénalisées par les départements des ressources humaines si vous êtes trop fier pour élever ces habiletés-ci au même niveau de votre expérience financière ou légale. Au moins voici la recommandation que m'ont fait plusieurs fois les directifs de placement. C'est un patron d'automatisation qu'à mon avis néglige les qualités créatives associées au cerveau droit que les compagnies nord-américaines et européennes devraient chercher parmi leurs candidats. Les candidatures soulignant le cerveau gauche sont plus favorisées qu'autrefois lors d'un effort des recruteurs pour dépenser moins de temps à la lecture des postulations d'emploi.

 

Les traductions en ligne n'ont pas atteint encore le niveau de Deep Blue. Je ne voudrais pas commettre la même erreur de Kasparov, qui a dit pendant sa jeunesse qu'un ordinateur ne lui battrait en échec. Cependant, les langues espagnole, française et anglaise comptent avec tellement de nuances que, au moment de cet écrit, une bonne traduction par un traducteur humain qui a lu de la littérature et de la poésie en chacun de ces trois langues est significativement meilleure que celle offerte par n'importe quel logiciel pour traductions. Peut-être vers le milieu de ce siècle un super-ordinateur sera construit pour reconnaître un nombre gigantesque fini des patrons utilisés par les humains dans leurs traductions, et les ordinateurs pourront accomplir des véritables traductions artistiques dans les prochains quarante ans. Qui le sait?

 

L'Afrique est en train de sauter de l'âge agricole directement aux plus avancées technologies de téléphonie cellulaire pendant notre vie. Ce sera intéressant de constater comment ils se bénéficieront de ce changement de paradigme. J'admire le développement de l'Inde avec ses scientistes bien entraînés, mais je songe s'ils insistent trop sur les qualités du cerveau gauche au détriment de la riche culture du cerveau droit que forme l'héritage de leurs ancêtres. De façon similaire nous en Amérique Latine louons nos sociétés chaotiques en méprisant ces mêmes qualités du cerveau gauche. Je n'approfondirai davantage sur cette hypothèse.

 

J'ai suivi le concept de Daniel Pink «Haute Technologie et haute touchée» aux plusieurs tâches que je suis, comme les importations à la demande des clients et la plupart de mes écrits. Toutes ces tâches faillissent par rapport a ces nouveaux standards rigides. Cependant, j'ai conclu que mon essai sur les fuseaux horaires et leurs pays passe les trois examens: personne ne peut l'écrire plus économiquement car je l'ai déjà offert gratuitement. J'ai décidé de le publier en ligne en lieu de l'imprimer parce que la plupart de gens, à nos jours, ne veulent plus acheter des livres ou de la musique. J'ai acheté le livre de Dan Pink L'homme aux deux cerveaux imprimé, sans le télécharger, par le seul désir de passer quelque temps hors ligne.

 

Beaucoup de pages réseau générées par ordinateur détaillent les technicités sur le fuseau horaire spécifique GMT-2 (fuseau horaire du Moyen Atlantique). Mais je suis en mesure d'offrir des paragraphes sincères sur ce que je crois compter comme des caractéristiques intéressantes sur ce fuseau horaire particulier, donc je sens que j'ai proposé une contribution valable.

 

La version anglaise de l'essai sur les fuseaux horaires et leurs pays faillit la condition requise d'abondance parce qu'il y a au réseau des millions d'articles disponibles en anglais sur les fuseaux horaires du monde, donc mon article ne reçoit que quelques visites par jour. Cependant, la version espagnole parfois reçoit vers cent visites par jour parce qu'il n'y a pas une abondance d'articles que songent à faire mention en espagnol de tous les pays du monde, ce qui devient évident aux résultats obtenus aux moteurs de recherche. La version française, récemment traduite, reçoit déjà plus de visites au réseau que la version anglaise, probablement par la même raison. Peut-être nous sommes déjà entrés dans un âge de saturation d'information en anglais que nous conduira à une période de croissance de la lecture en d'autres langues importantes, même de la part d'anglophones qui sont déjà intéressés pour apprendre les langues étrangères. Même si la connaissance d'une langue est une activité du cerveau gauche, la traduction des nuances d'une langue vers l'autre paraît plus reliée au cerveau droit, car elle s'agit d'une compréhension artistique et synthétique des idées originaires.

 

Même si le monde développé certainement suit la transition jusqu'à l'âge conceptuel, les régions moindres développées du monde sont coincées dans l'âge agricole, et les pays comptant avec des revenus moyens rattrapent leur retard vers les âges industriel et de l'information au plus tôt possible. Donc la globalisation nous conteste d'entrelacer la convergence des plusieurs états de développement humain simultanément. La globalisation exige une approche du cerveau droit pour élargir les procédures du cerveau gauche jusqu'aux pays sous-développés. Ces pays ont besoin d'urgence de telles procédures pour atteindre de l'abondance. La convergence inclut des procédures moins sévères pour les transferts de savoir-faire technologique. Je ne crois pas que le monde développé se rendra complètement jusqu'à l'âge conceptuel pendant le temps qu'il faudra aux pays sous-développés pour maîtriser les étapes précédentes, surtout parce qu'un trait crucial de la globalisation est l'objectif d'une Terre unifiée. Le monde développé a été excessivement impliqué aux activités du cerveau gauche, il doit lire les histoires récentes de survivance racontées par des individus au cerveau droit provenant des pays pauvres, car ces derniers peuvent mieux saisir le sens de la vie aspiré par les pays riches. La crise financière actuelle est une conséquence directe de cette transition, les valuations plus basses du patrimoine reflètent les définitions mises à jour de la valeur.

 

L'argent a de la valeur, autant divisé parmi des comptes spécifiques comme rejoint au capital. Mais cette quantification ne se mesure pas adéquatement en dollars. Elle est bien plus subjective. Nous avons les outils pour analyser un sous-ensemble des infinies partitions pour allouer l'argent. Les organisations doivent choisir la distribution des partitions d'argent aux comptes donnés. Quelles partitions promettent plus de valeur pour les clients? Quelles partitions permettront aux fournisseurs d'employer plus de personnes? Au passé récent, certaines partitions d'argent furent classifiées comme intéressantes parmi les organisations globales, mais faillirent de représenter une valeur suffisante. Pour envisager de nouvelles solutions aux défis actuels, il serait utile que certains banquiers ou industriels deviennent philosophes, et que certains philosophes deviennent industriels ou banquiers.

 

Les approches de l'homme à deux cerveaux requièrent les six sens du cerveau droit tels que dessein, histoire, symphonie, empathie, jeu et signification. Ces six sens s'appliquent joliment sous la supposition d'abondance, externalisation et automation, laquelle est correcte au monde développé du cerveau gauche. Mais la plupart du monde sous-développé continue à vivre en pénurie, sous des systèmes politiques dépassés que découragent l'externalisation en faveur de politiques récompensant la production locale inefficace, et des procédures enchâssées dans des systèmes légaux anachroniques peu amicaux de l'automatisation. Un défi parcouru par les pays sous-développés est de fondre leur excellence relative des six approches du cerveau droit avec un grand nombre de transferts de savoir faire au cerveau gauche, lesquels sont toujours en attendant à se produire.

 

Rubén Rivero Capriles, Rivero & Cooper, Inc.

Version originale à Caracas, le 12 septembre 2009

Traduction française par l'auteur le 18 septembre 2009

Marches and Protests in the U.S.

As an outsider observer, it disturbs me a bit that protest marches are becoming more popular in the US. This reflects a wider disconnection between people and their government. In my Venezuelan case these kinds of marches have occurred nonstop since the very beginning of this twenty-first century and nothing beneficial has been achieved for any of the parties involved. I see marches as a waste of time and resources, as a new source of mass entertainment that eventually leads to mass exhaustion. The recent protests in the U.S. are portrayed against health care but they are also against inflation, taxes and huge spending by the federal government. The marches could even include paid propaganda as well. People are paid all the time in third world countries to protest against or support any number of things. Which is then a good way to protest against economic mismanagement? Another popular way of protesting is having lots of similar-minded people posting their protest in narrow-niche web pages only read by their supporters. It seems to me that there are more ways to protest than ever before but their effectiveness with respect to a beneficial change in public policy are slim.

Paragraphs throughout this article include juxtaposed, edited and isolated views from a number of people, including Mary Los and her friends, Kyrriell Noon and his friends, and E. Varick Wettlaufer. Their input is not necessarily transcribed in context. Editing these sentences and deciding their order within this text was actually a minor nightmare for me. I just limit myself into concluding in the final paragraph that the current US polarization is widening to everyone's dissatisfaction.

Many Americans do not understand why the need for reform on health care and health insurance is debatable. They argue that even if a person is sitting pretty and has no personal need for better public policy, access should not be denied to other, less fortunate people. In their opinion, health care should be considered a right of citizenship, and the responsibility should be on all Americans to pay their fair share. The claim is that the fortunate ones need to learn to live simply in order that others may simply live. Despite the fortunes spent, many Americans have not had health care due to their inability to afford it. Many other industrialized countries have state-funded healthcare and the system is believed to function successfully, so theoretically the new United States healthcare system should be able to function as well. The left claims that the right is terrified of all the sociological changes they are powerless to control. The left claims that the right lashes out in impotent rage, shouting "Fire!" in a crowded, dilapidated, depraved theater, and that the right does not have a leg to stand on, no evidence of claims, and no alternative solutions.

There is also wide support behind the naysayers of healthcare reform. According to their view public money for healthcare will result in a system where patients will be waiting for hours at understaffed state clinics with lousy service. There is also the brainwashing issue, probably agreed upon by several on both sides of the political spectrum. Most people in the United States are said to be happy to believe what they're told. How many genuine free-thinkers are there in the United States? Anecdotal exaggerations estimate in 5% the population that makes the effort to think for themselves, so the rest get fed thoughts by the TV networks, which in turn get fed content by whoever pays their bills. Masses then sit around to absorb meaningless messages. Further anecdotal evidence suggests a rise in American expatriates holding permanent residency visas abroad, as they see their country increasingly heading into the wrong direction.

One reader of my recent tax and spend vs. don't tax but spend just as much article asked, "what credibility does a Venezuelan commentator have when commenting on the American political scene?" At that time I replied to him that I have as much credibility as the care I took when compiling the research from many sources. I lived in the United States for almost seven years and I am well versed on United States issues because I always keep myself informed over the internet.
I did not intend then, and do not intend now either, to supply any prescription or prognosis. That is left out entirely to the reader. However, on this occasion I can confidently respond a little further. Having experienced similar plights during the last decade, a number of Latin American individuals, as opposed to our similarly inefficient governments, can elaborate with expertise on United States issues today. What nation doesn't benefit from the opinions, perceptions, and analysis of outside observers? The unfortunate experiences of outsiders should serve as an example to spare US citizens from further political madness.

Rubén Rivero Capriles, Rivero & Cooper, Inc.

Caracas, September 17, 2009

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Outsourcing Concepts in the Third World
"I'm fascinated by your points about Venezuela -- and how the three questions apply there.

I think, though, that in much of the world, the downturn represents not the end of abundance, but merely a slight reduced form of it. Especially in countries like the US, the material standard of living remains remarkably high. Add in consumers feeling pinched for cash and credit -- and that merely increases the urgency for coming up with a big conceptual leap in innovation rather than merely incremental ones.

Great question, too, about Cuba.  I think that could be one of the most exciting places in the world once the Castro brothers are gone -- and the full capabilities of the country are liberated."
Daniel Pink, author of A Whole New Mind, on the text below:
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This mini essay concludes my observations on Daniel Pink's A Whole New Mind, which were expressed in my previous blog entry "Third World on the Conceptual Age".


Right-brain jobs, in addition to left-brain jobs, can also be outsourced from the first world to the third world, especially to Latin America and perhaps Africa, because of a lower labor cost and perhaps better quality in selected cases. This is due to the fact that, unlike in the first world, our right-brain qualities have not become attrophiated by an excess of left-brain labor for centuries. I would imagine that there is much such right-brain outsourcing already occurring with Mexico. Therefore outsourcing from the first world to the third would continue for ANY kind of job, not just menial left-brain jobs; however, specific niches can be kept safely in the first world at first world wages requiring specific combinations of both sides of brain activity.


One clear example are doctors. Lots of California patients go to Mexico for visits to doctors who have great right-brain training from the University and have completed specialized left-brain specializations in the US, at a fraction of the US cost. Vemezuelan doctors who seek a better living in the US also have that profle.
Workers in India are highly motivated to excel in outsourced left-brain jobs. I do not know much on Indian culture, but my guess is that they concluded that millenia of emphasis in the right brain failed to provide the abundance they yearn, so Indians are slowly finding the way to overcome that lack.


Daniel Pink's A Whole New Mind establishes a left-brain kind of routine questionnaire for any new business endeavor, I will attempt to reply to it based on my specific Venezuelan environment:


Question 1) The question on "Can it be produced abroad more cheaply?" is yes for pretty much every single Venezuelan industry but oil. We suffer an exchange control regime that forces exporters to convert their dollars at the official rate of 2.15 bolivars, while the market exchange rate approximately triples this value. That is, Venezuelan products are competitive worldwide only if they can be produced locally at below 30% of the production cost for that item in any single other country. We are even becoming coffee importers! We are importing most foodstuffs for that reason. Local manufacturing industries are migrating to Colombia, Panama, Costa Rica and Brazil. On these grounds, we are quite hopeless until there is an exogenous change of government regulation systems.


Question 2) In the Venezuelan case only the question on "Can a computer do it cheaper?" can be replied similarly as when asked to a US citizen.


Question 3) The question on "Will my product satisfy the needs on an age of abundance?" must be reversed in my country. GDP per capita has substantially decreased during my lifetime. In the 60s and 70s any college graduate landed a job and could buy a comfortable home on credit. Today, lots of middle-aged people continue living with their parents. Grocery shopping consumes about half of most people's income, due to one of the greatest inflation rates of the world. I remember when I was a kid it was an age of abundance, but now this is no doubt an age of scarcity. I do not know what, in my local situation, would be an appropriate rephrasing of that question number 3.


In short, Venezuelans need to apply a lot of right-brain creativity in order to come up with a similar "recipe questionnaire for success" specific for our situation. Maybe we won't come up with such a recipe yet.


The fresh emphasis on right-brain qualities is appropriate to the US situation. I am just not sure on how that Conceptual Age can take a general hold in the developed world, on the current globalization/illegal immigration climate, with so many other countries still living under scarcity. I do not think, seriously, that the abundance assumption is valid. The world is still quite far from being a place of abundance. It will be interesting to see what Cubans within Cuba, if they had the right to speak freely, would add to this respect.


A topic for further research would be to find out if there are any left-brain activities that may be needed worldwide in order to achieve the abundance prerequisite for the Conceptual Age overturn of the Information Age.


Rubén Rivero Capriles, Rivero & Cooper, Inc.


Caracas, September 15, 2009

The Third World on the Conceptual Age

The recent triumph of the Venezuelan candidate in Miss Universe, for a second year in a row, in my opinion exemplifies a good mix of extensive left-brain training and a synthetic right-brain answer. She endured almost one year of methodic preparation just like an olympic athlete, as this country is well known in its arguably sole globally competitive private industry, Miss Venezuela. She was asked why women still had to deal with the glass ceiling at corporations. She disagreed in her answer, as she boldly concluded that women already have the same opportunities in business as men. This answer comes from an 18 year old born in the 1990s, who has seen various female US Secretaries of State in office throughout her life with the only exception of Colin Powell. People of our generation, born in the 80s, 70s, 60s and earlier, were shocked with this answer because of their left-brain analyses and statistics about centuries-old discrimination for women, so lots of people worldwide immediately said that the 2009 Miss Universe pageant was already set up for the Venezuelan candidate. I was surprised too on her crowning, as I think there were more beautiful women according to preconceived standards; in fact I did not expect her even to become a finalist in the Miss Venezuela pageant either last year. This shows that Stefania Fernández has a consistent ability to strengthen her qualities and improve other people's first impressions during the crucial finalist stages of beauty contests. This is the first time I hear a woman saying that discrimination for women is something of the past. This conclusion of hers, in my opinion, was a good use of her right brain in noticeing recently changing patterns of social opportunity. In my opinion this bold, creative answer helped her win the pageant.

Many Latin Americans, who have used their right-brain abilities as a means of survival based on the trickster archetype, become succesful immigrants in North America today because of that right-brain advantage. But the left-brain procedures, analyses and methods from the industrial and information age are still comparatively lacking in our local societies. That is why many immigrants and investors from the developed world excel here because their left-brain abilities help to convey some order in these somewhat chaotic Latin American societies with awkward political systems. Venezuela is at a stage of development that still needs lots of left-brain abilities in order to produce abundance.

The concept of abundance is accurate to a certain extent in my Venezuelan environment. Daniel Pink's A Whole New Mind is focused on North America, Western Europe, Japan, Australia and New Zealand, so I am sharing instead the specifics of my part of the world. Blessed with oil money, we Venezuelans certainly have many shopping malls and an array of consumer options just like in the developed world, but at higher prices vis-à-vis our income. So a lot of our population is still living under scarcity. However, over the internet we are aware of all the material abundance available in the developed world. Venezuelans who go weekend shopping to Miami travel with a carefully selected list of what they want. They manage to make very wise shopping decisions in the limited time they are physically in the US for that purpose.

Applying for jobs in the developed world, nowadays, involves filling out online forms during hours and submitting resumés and cover letters in very specific left-brain formats. I am not sure if this method will stand the test of time, as creativity is completely dismissed in today's job applications. Right mind abilities and artistic abilities are penalized by human resource departments if you dare enough to place such abilities at the same level as your financial or legal experience. At least that is the recommendation I have been given several times by a number of hiring decision makers. This is a pattern of automation that, in my opinion, neglects the creative qualities that North American and European companies should be looking for in their candidates, associated to their right brain. Left-brain only applications seem to be more emphasized than ever before in an effort by recruiters to spend less time reading the job applications.

Online translations have not yet got to the level of Deep Blue. I do not want to make the same mistake by Kasparov, who said in his youth that a computer would never beat him in chess. But the French, English and Spanish languages have so many different nuances that, at time of writing, a good translation by a translator who has read literature and poetry in each of those three languages is far superior than what is being offered by any current translation software. Maybe by the middle of this century a supercomputer will be built to recognize a huge finite number of patterns humans use in their translations, so computers might make great artistic translations 40 years from now. Who knows?

Africa is already jumping from the agricultural age to the most advanced cell phone technology over our lifetime. It will be interesting to see how they will profit from this paradigm shift. I admire the development of India with their well-trained scientists, but I wonder if they overemphasize the left-brain qualities to the detriment of the rich right-brain culture that is the legacy of their ancestors, the same way we Latin Americans praise our chaotic societies with our underemphasizing of those left-brain qualities. I won't dwell much further on this hypothesis, though.

I applied Daniel Pink's concept "High Tech and High Touch" to many endeavors I perform, such as imports by customer demand and most of my writing. Such endeavors fail by these new rigid standards. On my writing on the Time Zones and their Countries; however, I am glad to conclude that it passes the three tests:

No one can do it cheaper because I did it for free. I decided to publish it online instead of in print because most people do not want to purchase books or music anymore. I bought Dan Pink's book A Whole New Mind in print and did not download it for the sheer desire of spending some time offline.

There are lots of computer-generated web pages that detail technicalities on the specific time zone GMT-2 (Mid Atlantic time zone). However I offer neat heartfelt paragraphs on what I believe are interesting features of that particular time zone, so I feel I am making a valuable contribution.

The English version of my Time Zones and their Countries essay partially fails the abundance requirement because there are millions of web articles in English on the world's time zones, so that article just receives a few visits a day. However, the Spanish version sometimes receives about one hundred visits a day because there is not an abundance of articles that take the time to mention all the countries in the world in Spanish, which is evident on search engine results. The recently translated version into French is already receiving more daily web visits than the English version probably for the same reason. Maybe we are just getting into an age of saturation of information in English which would lead to a rise of readership in other major languages, even on the part of native English speakers who are recently more interested in learning foreign languages. Even if speaking a language is a left-brain activity, translating nuances from one language to another seems more related to the right brain as it involves artistry and a synthetic understanding of the original idea.

While the developed world is certainly well-transitioned into the conceptual age, some least developed areas of the world are stuck in the agricultural age, and middle-income countries are catching up with the industrial and information ages as fast as they can. So globalization is challenging all of us to intertwine the convergence of the various stages of human development simultaneously. Globalization requires a massive right-brain approach on expanding left-brain procedures into the underdeveloped countries that urgently need the latter to reach abundance. Such convergence includes laxer procedures for technological transfers of know-how. I do not believe that the developed world will fully get into the conceptual age until the underdeveloped world catches up in their mastery of the previous stages, in part because one crucial concept of globalization is the goal of a unified Earth. The developed world has been overinvolved with left-brain activities, it must read the recent survival stories from right-brain individuals from poorer countries in order to get a better grasp of the meaning of life it is yearning for. The current financial crisis is a direct consequence of this transition as lower equity valuations reflect updated definitions of value.

Money has a value, both scattered though specific accounts, and as aggregate equity. But such quantification cannot be adequately measured in currency units. It is much more subjective. We have the tools to analyze subsets of the infinite partitions for allocating money. Organizations must choose how to distribute such money partitions into given accounts. Which partitions promise a greater value for clients? Which partitions will enable suppliers to employ more people? During the recent past, a number of money partitions were classified as interesting by global organizations but failed to represent enough value. To envision fresh solutions for the current challenges, it would be useful if certain bankers or manufacturers would become philosophers, and certain philosophers would become manufacturers or bankers.

Whole new mind approaches require right-brain senses of design, story, symphony, empathy, play and meaning. These six senses work beautifully under the assumption of abundance, outsourcing and automation that is correct in the left-brain developed world. But much of the underdeveloped world continues to live under scarcity, outdated political systems that discourage outsourcing in favour of policies which do reward inefficient local production, and bureaucratic procedures entrenched in anachronistic legal systems quite resilient to automation. A challenge that underdeveloped countries are facing now is how to blend their relative excellence in the six right-brain approaches with lots of left-brain know-how transfers that are still pending to take place.

Rubén Rivero Capriles, Rivero & Cooper, Inc.

Caracas, September 12, 2009

 

 

 

Fuseaux horaires et leurs pays

Les fuseaux horaires prennent la fonction d'établir l'heure pour tous les coins de la planète en seulement 24 zones horaires, chacune correspondant à une heure déterminée du jour. Comme la terre est ronde, tous les fuseaux horaires commencent au pôle nord, grossissent au maximum à l'équateur, et diminuent de nouveau pour converger au pôle sud. Voici donc leur forme similaire à celle d'un fuseau pour filer ou d'une tranche d'orange.

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Jusqu'à un peu plus d'un siècle chaque ville avait sa propre heure solaire que assignait le midi (12 pm) au moment quand le soleil est à son zénith ou son point le plus haut. Ce système apporta des problèmes de transit aux voies ferrées car les itinéraires et les horaires ne pouvaient pas être publiées de façon précise, des villes relativement proches comptaient quelques minutes solaires de différence entre une et l'autre.

Un héritage fondamental de l'empire britannique d'autrui c'est l'adoption du méridien de Greenwich, à Londres, comme le méridien zéro. Le méridien zéro commence au pôle nord, passe à Greenwich, finit au pôle sud, et divise la Terre en deux hémisphères: oriental et occidental. Tous les points de la Terre, à nos jours, se mesurent à plusieurs degrés de longitude a l'est ou à l'ouest de Greenwich. Caracas au Vénézuela se trouve 67 degrés à l'ouest de Greenwich, Asunción au Paraguay est 57 degrés à l'ouest de Greenwich, Jakarta en Indonésie se place 107 degrés a l'est de Greenwich et Moscou en Russie est 37 degrés à l'est de Greenwich.

La ligne de l'équateur est une circonférence dont sa distance jusqu'au pôle nord est la même distance que la sépare du Pôle Sud. À différence du méridien zéro, il ne s'agit pas d'une ligne désignée arbitrairement, l'équateur se dérive du mouvement de rotation de la Terre. L'équateur divise la Terre en deux hémisphères: sud et nord. Tous les points de la Terre se mesurent à plusieurs degrés de latitude au sud ou au nord de l'équateur. Caracas se trouve 10 degrés au nord de l'équateur, Asunción est 25 degrés au sud de l'équateur, Jakarta se place 6 degrés au sud de l'équateur est Moscou est 55 degrés au nord de l'équateur.

Tous les circules se divisent en 360 degrés. Donc l'équateur terrestre, dont sa latitude est zéro degrés, ou n'importe quel parallèle de l'équateur dont sa latitude peut arriver jusqu'à quatre-vingts-dix degrés sud ou nord, se divisent tous en 360 degrés de longitude. Chacun de ces degrés représente un méridien spécifique qui coupe perpendiculairement l'équateur ou le parallèle de plus grande latitude. D'ici 180 degrés se trouvent a l'ouest de Greenwich, à l'hémisphère oriental, et les 180 degrés restants se trouvent a l'ouest de Greenwich, à l'hémisphère occidental.

Lors de diviser les 360 degrés possibles parmi les 24 heures du jour, nous obtenons que chaque fuseau horaire a une largeur de 15 degrés. En raison de sa forme, la largeur de chaque fuseau horaire proche à l'équateur est à peu près 1.665 kilomètres, mais cette largeur se réduit à 1.085 kilomètres au Centre du Canada, l'Europe ou l'extrême sud de l'Argentine ou du Chili. C'est à dire qu'à l'équateur, le mouvement de la Terre se produit plus rapidement parce que le disque solaire prend une heure pour parcourir ces 1.665 kilomètres. Aux hautes latitudes du Canada ou du Chili le mouvement de la Terre se produit plus lentement parce que le disque solaire prend une heure aussi pour parcourir seulement 1.085 kilomètres.

En raison du caractère souverain des nations, les limites des fuseaux horaires peuvent être modifiées à convenance. Par des raisons politiques, commerciales et même par le changement des saisons, les 24 fuseaux horaires originaux en pratique ont été incrémentés vers 40. Quelques juridictions se gouvernent par des fuseaux horaires intermédiaires, avec une demi-heure ou un quart d'heure de décalage par rapport au fuseau horaire original.

La ligne internationale de changement de date se localise à l'extrême de la planète opposé au méridien de Greenwich. Elle correspond au méridien 180 degrés ouest, qui est aussi le même méridien 180 degrés est. C'est la place ou l'est se transforme en ouest et vice versa. Idéalement elle se trouve au fuseau horaire douze heures en avance de Greenwich (GMT +12). Depuis maintenant nous nous référerons à chaque fuseau horaire selon son abréviation: GMT (Greenwich Mean Time), le signe plus et un chiffre correspondant aux heures et minutes d'avance par rapport à l'heure de Greenwich, ou au contraire GMT, le signe moins et un chiffre correspondant aux heures et minutes de retard par rapport à l'heure de Greenwich.

La République de Kiribati, au milieu de l'Océan Pacifique équatorial, est traversée par trois fuseaux horaires, en raison de l'énorme distance parmi ses atolls d'îles minuscules. La capitale du Kiribati, Tarawa, aux îles Gilbert à l'ouest du pays, se trouve au fuseau GMT+12. Pour unifier la date autour du territoire national, en 1995 la ligne internationale de changement de date fut bougée vers l'orient. Maintenant les îles Phoenix, au centre du Kiribati, se trouvent au fuseau GMT+13 et les îles Line, à l'est du Kiribati, se trouvent au fuseau GMT+14. Les habitants des îles Line sont toujours les premiers dans toute la planète à célébrer les nouvelles années.

Jusqu'à 1995 les îles Phoenix se trouvaient gouvernées par le fuseau horaire GMT-11, et les îles Line étaient au fuseau GMT-10. Cela impliquait que quand à Tarawa c'était 8 heures du matin du 27 septembre de 1994, aux îles Phoenix c'était 9 heures du matin du 26 septembre de 1994, et aux îles Line c'était 10 heures du matin du 26 septembre de 1994. En raison du déplacement vers l'est de la ligne internationale de changement de date aux eaux territoriales de Kiribati, actuellement ces îles conservent leur heure en additionnant 24 heures à l'heure précédente, mais la date se transforme en celle du prochain jour et par conséquent elles ont la même date de la capitale Tarawa. Les îles Line (GMT+14) continuent à avoir la même heure que les îles Hawaï (GMT-10), comme nous détaillerons plus tard, mais maintenant la date au calendrier est toujours un jour d'avance.

Le Royaume de Tonga, en Océanie, se trouve aussi au fuseau horaire GMT+13. D'autres nations que se réglementent par le fuseau horaire GMT+12 son Nauru, Tuvalu, Fidji, les îles Marshall, et l'île étasunienne de Wake.

Les îles Chatham, vers l'est de la Nouvelle Zélande, bougèrent aussi la ligne internationale de changement de date en avance de quarante-cinq minutes. Pendant l'hiver austral elles sont au fuseau horaire GMT+12:45 et pendant l'été austral elles avancent au fuseau horaire GMT+13:45. Le reste de la Nouvelle Zélande pendant l'hiver austral se trouve au fuseau horaire GMT+12, et pendant l'été austral avance au fuseau horaire GMT+13.

En raison de sa localisation dans l'hémisphère sud, équidistante entre l'équateur et le pôle sud, en Nouvelle Zélande la différence d'illumination solaire entre l'hiver austral (de juin à septembre) et l'été austral (de décembre à mars) est substantielle. Pendant l'hiver, le soleil apparaît vers 7 heures du matin et se couche à 5 heures de l'après-midi. Pendant l'été en Nouvelle Zélande les horloges sont avancées pour une heure, donc le soleil apparaît à 6 heures du matin et se couche à 9 heures du soir. Cette avance d'une heure se fait pour épargner de l'électricité pendant les après-midis et les soirées d'été.

L'Antarctique est traversée par tous les fuseaux horaires, ils se réduisent progressivement jusqu'à leur convergence au pôle sud. Le pôle sud n'est désormais aussi lointain comme il fut pendant la vingtième siècle, là-bas est construit le siège d'une moderne base scientifique étasunienne ou vivent des centaines de personnes. Au Pôle Sud c'est le jour pendant six mois compris entre octobre et mars et c'est la nuit pendant les six mois suivants entre avril et septembre. Le seul midi pour toute l'année se produit en décembre et le seule minuit pour toute l'année se produit en juin. Pour cette raison au pôle sud l'élection d'un fuseau horaire particulier n'a aucune pertinence pour compter les heures et les minutes correspondant à une période quelconque arbitraire de 24 heures continuelles de lumière ou obscurité. Malgré cela, dans la base scientifique du pôle sud on adopta la convention d'ajuster les horloges selon le fuseau horaire GMT+12 pendant l'hiver austral et selon le fuseau GMT+13 pendant l'été austral. Cette convention d'utiliser le même horaire de la Nouvelle Zélande se doit à que les provisions pour le pôle sud arrivent par avion de la base de McMurdo, dans la côte nord-est de l'Antarctique. La base de McMurdo, à son tour, est directement au sud de la Nouvelle Zélande, pays d'où sont reçues les provisions par voie aérienne et maritime.

Plus à l'ouest, les îles Salomon, la République de Vanuatu et la Nouvelle Calédonie française partagent le fuseau horaire GMT+11 pendant toute l'année. La République de Papua Nouvelle Guinée, la Micronésie et les îles étasuniennes de Guam, Saipan et les Marianes du Nord partagent le fuseau horaire GMT+10 pendant toute l'année.

L'Australie est un continent que traverse trois fuseaux horaires. Pendant l'hiver austral (de juin à septembre), Sydney à l'est se trouve au fuseau horaire GMT+10, Adélaïde au centre se trouve à GMT +9:30, et Perth à l'ouest à GMT+8. Les villes importantes du centre de l'Australie sont proches à la limite avec le fuseau horaire de l'est, donc il fut décidé que ces villes seraient une demi heure en retard par rapport à la côte du Pacifique et une heure et demie d'avance par rapport à la côte de l'Océan Indien. En Australie les horloges sont aussi avancés pour une heure pendant l'été austral (de décembre à mars). En conséquence, pendant l'hiver austral Sydney avance son fuseau horaire à GMT+11, Adélaïde à son tour l'avance à GMT+10:30, et Perth l'avance à GMT+9.

Cependant, dans l'état de Queensland au nord de l'Australie et en raison de sa localisation tropicale, proche à l'équateur, le fuseau horaire GMT+10 se maintient pendant toute l'année. Également c'est le cas des Territoires du Nord, où le fuseau GMT+9:30 est conservé pendant toute l'année.

Le Japon, la Corée du Nord et la Corée du Sud, dans l'hémisphère nord, sont toujours neuf heures d'avance par rapport à Greenwich (GMT+9). Les horloges ne sont pas avancées là-bas pendant l'été boréal (de juin à septembre), car pendant toute l'année l'horaire correspondant à l'hiver boréal (de décembre à mars) est conservé. En conséquence, pendant toute l'année ces pays partagent le fuseau GMT+9 avec des lieux dans l'hémisphère sud tels que la République Démocratique de Timor et la partie occidentale de l'île de la Nouvelle Guinée appartenant à la République d'Indonésie.

Le fuseau horaire que gouverne la plus grande quantité de personnes est sans doute le GMT+8. Des lieux densément peuplés comme Brunei, les îles centrales de l'Indonésie, Hong Kong, Macau, Malaisie, Singapour, les Philippines, Taïwan, Mongolie et la République Populaire de Chine partagent ce fuseau horaire entre milliards de personnes. La Chine est un pays que théoriquement pourrait compter quatre fuseaux horaires, en raison de son énorme territoire. Cependant, tout le pays est gouverné par le fuseau horaire correspondant à l'extrême oriental, huit heures en avance de Greenwich (GMT+8). Dans cette région-ci se localisent les villes plus peuplées. De même façon que le Japon, la Chine n'observe point l'horaire d'été.

Au Tibet, en Chine occidentale, pendant l'hiver boréal le soleil se lève à 9 heures du matin et il se couche à 7 heures de l'après-midi. Pendant l'été boréal au Tibet le soleil se lève à 7 heures du matin et il se couche à 9 heures du soir. À Shanghai, en Chine orientale, pendant l'hiver boréal le soleil se lève a 7 heures du matin et il se couche à 5 heures de l'après-midi. Pendant l'été boréal à Shanghai le soleil se lève à 5 heures du matin et il se couche à 7 heures du soir.

La plupart du sud-est asiatique utilise le fuseau GMT+7, c'est-à-dire Cambodge, Laos, Thaïlande, Vietnam et les îles de Java et Sumatra en Indonésie. La voisine Myanmar utilise le fuseau GMT+6:30. Bangladesh, Bhoutan et l'est de Kazakhstan sont gouvernées par le fuseau GMT+6, pendant que le Népal utilise le fuseau GMT +5:45.

Le cas de l'Inde est similaire a celui de la Chine. L'heure officielle est de cinq heures et demie d'avance par rapport à Greenwich pour tout le pays pendant toute l'année (GMT +5:30). En raison de son vaste territoire, il y a aussi de grandes différences entre l'heure de la levée et couchée du soleil selon notre placement aux villes de l'est, comme Calcutta, où l'aube et le crépuscule sont plus tôt; où aux villes à l'ouest, comme Bombay, où l'aube et le crépuscule sont plus tard.

Au Pakistan pendant l'hiver boréal le fuseau horaire GMT+5 est utilisé, et pendant l'été boréal le fuseau horaire GMT+6 est utilisé. Voici un cas exceptionnel dont, lors d'un voyage à l'ouest, le décalage horaire est en avance! Même si le Pakistan se trouve à l'ouest de l'Inde, il présente une demi-heure d'avance par rapport a celle-là pendant l'été boréal. Les Républiques de Kirghizstan, Tadjikistan, Turkménistan et Ouzbékistan, et l'ouest du Kazakhstan utilisent le fuseau GMT+5 pendant toute l'année. Les Républiques d'Arménie et Azerbaïdjan l'utilisent aussi pendant l'été boréal. Pendant l'hiver boréal ces deux républiques retardent leurs horloges jusqu'à GMT+4.

La Russie, le pays le plus grand du monde, est traversé par onze fuseaux horaires, lesquels sont plutôt étroits par raison de sa localisation géographique prochaine au pôle nord. À Moscou l'heure d'hiver boréal est celle de GMT+3, et l'heure d'été boréal avance jusqu'à GMT+4. À Vladivostok l'heure d'hiver boréal est de GMT+10 et l'heure d'été boréal avance jusqu'à GMT+11. Les variations entre la période d'illumination selon les saisons sont notoires, mais comme le respect aux fuseaux horaires originaux est assez rigide en Russie, différemment à la Chine ou l'Inde, le midi officiel partout le pays généralement se produit entre 1 et 2 heures après le midi solaire. La raison est que la Russie décida ajouter en moyenne deux heures pour chacun de ses fuseaux horaires originaux en été.

La tendance de beaucoup de pays à avancer l'heure légale plus tard que celle proposée par leurs fuseaux horaires originaux, rappelons-nous, se doit au désir de bien de personnes de prolonger l'après-midi pour épargner de l'énergie électrique pendant ces heures-là. La conséquence est une aube artificiellement tardive, nocive pour les enfants qui doivent se lever ou aller à l'école en pleine obscurité.

C'est intéressant de noter qu'en été boréal, la ville de Vladivostok (GMT+11), en Russie, est deux heures d'avance par rapport au Japon (GMT+9), et en hiver boréal Vladivostok (GMT+10) est une heure d'avance par rapport au Japon (GMT+9). Ce fait est curieux si nous observons que Vladivostok se localise à l'ouest du Japon, nous aurions donc espéré qu'à cette partie de la Russie l'heure devrait être en retard par rapport au Japon. Souvenons-nous qu'au Japon la politique officielle est de ne pas avancer les horloges pour de raisons d'épargne d'énergie.

Une comparaison des heures d'été et d'hiver entre l'hémisphère nord et l'hémisphère sud nous retourne quelques faits curieux. Par exemple, en décembre Vladivostok (GMT+10) présente une heure de retard par rapport à Sydney (GMT+11), et en juin Vladivostok (GMT+11) présente une heure d'avance sur Sydney (GMT+10). Cela se doit à que l'hiver boréal se produit pendant l'été austral, et l'hiver austral se produit pendant l'été boréal.

L'Iran et l'Afghanistan partagent le fuseau horaire GMT+4:30. Cependant, l'Iran avance ses horloges une heure (GMT+5:30) pendant l'été boréal. Nous avons de nouveau le cas particulier que pendant l'été boréal, en Iran l'heure est avancée par rapport à l'Afghanistan même si l'Iran se trouve à l'ouest de l'Afghanistan.

Dans la péninsule arabique, les pays le plus orientaux tels que l'Oman et les Émirats Arabes Unis partagent le fuseau horaire GMT+4. L'ancienne république soviétique de Géorgie également utilise le fuseau GMT+4 pendant toute l'année.

Le reste de la péninsule arabique, comprenant le Bahreïn, le Qatar, le Yémen et l'Arabie Saoudite partagent le fuseau horaire GMT+4. Un peu plus au nord, les Républiques d'Irak et le Koweït partagent aussi le fuseau horaire GMT+3. Aucun de ces pays observe l'horaire d'été.

Les points névralgiques du Moyen Orient, c'est-à-dire le Liban, la Syrie, l'Israël, la Palestine et la Jordanie, partagent en hiver le fuseau horaire GMT+3 en consonance avec le reste de la région. Cependant, pendant l'été boréal ils avancent leurs horloges pour une heure et se joignent au fuseau horaire GMT+4. Cette situation, comme décrit au-dessus, est identique a celle que se présente à Moscou, en Russie.

En raison de la présence de la ligne équatoriales aux terres africaines, presque tout le continent se gouverne par des fuseaux horaires uniformes pendant toute l'année. Seulement l'Égypte (GMT+2) et la Tunisie (GMT+1) observent l'horaire d'hiver boréal pendant que la Namibie (GMT+2) observe l'horaire d'été austral. Pendant l'autre moitié de l'année, l'Égypte (GMT+3) et la Tunisie (GMT+2) observent l'horaire d'été boréal pendant que la Namibie (GMT+1) observe l'horaire d'hiver austral.

La majorité de l'Afrique Orientale (Kenya, Tanzanie, Ouganda, Éthiopie, Eritrée, Djibouti, Soudan, Burundi, Rwanda, Madagascar et l'est de la République Démocratique du Congo se gouvernent toute l'année par le fuseau GMT+3. La majorité de l'Afrique Centrale (Angola, l'ouest de la République Démocratique du Congo, la République du Congo, Gabon, Guinée Équatoriale, Cameroun, République Centre-africaine, Nigeria, Benin, Tchad, Niger et l'Algérie) retarde son horaire directement deux heures vers le fuseau horaire GMT+1 pendant toute l'année. C'est-à-dire, quand la frontière entre certains pays de l'Afrique Centrale et l'Afrique Orientale est franchie, il faut retarder les horloges deux heures en lieu d'une seule comme d'habitude.

Le fuseau horaire intermédiaire en Afrique, GMT+2, est présent pendant toute l'année seulement aux pays du sud (Malawi, Zambie, Mozambique, Zimbabwe, Botswana, Swaziland, Lesotho et l'Afrique du Sud). Finalement, les pays de l'Afrique Occidentale (Togo, Ghana, Côte d'Ivoire, Liberia, Sierra Léone, Guinée, Guinée Bissau, Burkina Faso, Gambie, Sénégal, Mali, Mauritanie, Sahara Occidental et le Maroc) partagent avec Greenwich le fuseau horaire de base GMT+0.

En raison de son petit territoire, l'Europe ne contient que trois fuseaux horaires. Dans tous les pays on observe l'horaire d'hiver boréal et une heure d'avance pour l'été boréal. L'extrême oriental de l'Europe (Finlande, Estonie, Lettonie, Lituanie, Belarus, Ukraine, Moldavie, Roumanie, Bulgarie, Grèce, Turquie et le Chypre ) partage avec l'Égypte le fuseau horaire GMT+2 pendant l'hiver boréal et le fuseau horaire GMT+3 pendant l'été boréal. Une autre comparaison valide serait que ces pays en hiver partagent l'horaire des pays du sud de l'Afrique et pendant l'été boréal ils partagent l'horaire des pays de la péninsule arabique.

Presque tous les pays de l'Europe Occidentale, Centrale et Orientale partagent avec la Tunisie le fuseau horaire GMT+1 pendant l'hiver boréal et GMT+2 pendant l'été boréal. Norvège, Suède, Danemark, Pologne, Slovaquie, la République Tchèque, Autriche, Hongrie, Slovénie, Croatie, Bosnie-Herzégovine, Serbie. Monténégro, Kosovo, Macédoine, Albanie, Italie, le Vatican, Saint Marin, Suisse, Liechtenstein, Allemagne, les Pays-Bas, Belgique, Luxembourg, France, Monaco, Andorre et l'Espagne péninsulaire (îles Baleares comprises) partagent leur horaire avec l'Afrique du Sud pendant l'été boréal et pour l'hiver boréal elles partagent l'horaire des pays de l'Afrique Centrale.

Seulement le Royaume-Uni, Irlande, Portugal (îles Madeira comprises) et les îles Canaries appartenant à l'Espagne se gouvernent pendant l'hiver boréal par le fuseau horaire de base GMT+0, mais en été ils avancent leurs horloges vers GMT+1. En conséquence, ces pays partagent leur horaire avec les pays de l'Afrique Occidentale pendant l'hiver boréal, mais pendant l'été boréal ils partagent leur horaire avec les pays de l'Afrique Centrale. L'Islande par contre se gouverne par GMT+0 pendant toute l'année de même façon que l'Afrique Occidentale.

Les suivants fuseaux horaires appartiennent aux îles situées dans l'Océan Atlantique. GMT-1 est utilisé pendant toute l'année au Cap Vert, et aux îles Açores et l'extrême oriental du Groenland pendant l'hiver boréal. Les îles Açores et l'extrême oriental du Groenland avancent jusqu'à GMT+0 pendant l'été boréal. Les îles Sandwich du Sud, aussi que l'île brésilienne Fernando de Noronha, se trouvent au fuseau GMT-2, de même façon que la plupart du Groenland pendant l'été boréal. Pendant l'hiver boréal, Groenland retarde ses horloges ver le fuseau GMT-3. L'île de Terre-Neuve pendant l'hiver boréal se trouve au fuseau GMT-3:30 et pendant l'été boréal ses horloges avancent au fuseau GMT+2:30.

La région au sud-est du Brésil et la plus peuplée, se trouve pendant l'été austral au fuseau horaire GMT-2. On y trouve Sao Paulo, Rio de Janeiro, Porto Alegre et Brasilia. Pendant l'hiver austral les horloges sont retardés pour une heure jusqu'au fuseau horaire GMT-3. Pendant l'été austral le Brésil (GMT-2) se trouve deux heures de retard par rapport à l'Angleterre (GMT+0), laquelle à son tour se trouve en horaire d'hiver boréal. Mais comme les saisons se reversent entre les hémisphères sud et nord, pendant l'hiver austral le Brésil (GMT-3) se trouve quatre heures de retard par rapport à l'Angleterre (GMT+1), laquelle à son tour se trouve en horaire d'été boréal.

La partie nord-est du Brésil maintient le fuseau horaire GMT-3 pendant toute l'année. Là se trouvent Bahia, Recife, Fortaleça et Belém. La République de Surinam et le Département d'Outre Mer de la Guyane Française partagent aussi le fuseau horaire GMT-3. La partie nord-ouest du Brésil, frontalière avec le Vénézuela, la Colombie et le Pérou, maintient le fuseau horaire GMT-4 pendant toute l'année. Là se trouvent les villes de Boa Vista, Manaus et Rio Branco. La partie sud-ouest du Brésil, spécifiquement les états de Mato Grosso et Mato Grosso do Sul, également que la République du Paraguay, observent le fuseau horaire GMT-4 pendant l'hiver austral, mais ils avancent leur horaire jusqu'à GMT-3 pendant l'été austral.

La province de Saint Louis en Argentine utilise le fuseau horaire GMT-4 pendant l'hiver austral. Voici la seule région du pays où l'heure solaire correspond à l'heure officielle fixée par le fuseau horaire. Pendant l'été austral les horloges à Saint Louis sont avancés une heure jusqu'à GMT-3. Le reste des provinces occidentales de l'Argentine utilisent le fuseau horaire GMT-3 pendant toute l'année, donc midi se produit réellement 1 heure après le midi solaire. La partie la plus peuplée de la République Argentine, à l'est, avec la République Orientale de l'Uruguay, utilisent le fuseau horaire GMT-3 pendant l'hiver austral et elles avancent leurs horloges au fuseau GMT-2 pendant l'été austral. En conséquence, le midi solaire aux villes de Buenos Aires et Montevideo pendant l'été se produit en réalité vers deux heures de l'après-midi.

Au Chili l'horaire coïncide avec la province de Saint Louis en Argentine. Tous deux se gouvernent par GMT-4 pendant l'hiver austral et GMT-3 pendant l'été austral. Cependant, comme le Chili est à l'ouest de l'Argentine, le midi solaire au Chili est analogue à celui de Buenos Aires, car le soleil arrive au zénith à 1 heure pm pendant l'hiver austral et à 2 heures pm pendant l'été austral. Autant au Chili comme en Argentine cette avance de l'horaire son motivées par une planification pour épargner l'énergie électrique après les heures de travail. À l'île de Pâques, territoire chilien dans l'Océan Pacifique, il y a toujours deux heures de retard par rapport au Chili continental, donc pendant l'hiver austral cette île se gouverne par le fuseau horaire GMT-6 et pendant l'été austral par le fuseau horaire GMT-5.

Les Républiques de Bolivie, Guyane, Trinité et Tobago, Grenade, Barbade, Saint Vincent et le Grenadines, Sainte Lucie, Dominique, Antigua et Barbuda, St. Kitts et Nevis et la République Dominicaine, comme aussi Aruba, les Antilles Néerlandaises de Curaçao, Bonaïre et Saint Martin, les départements français d'outre mer de Guadeloupe et Martinique, les possessions britanniques de Montserrat, Anguile et les îles Vierges britanniques, l'état libre Associé de Puerto Rico et les îles Vierges étasuniennes partagent pendant toute l'année le fuseau horaire GMT-4. Les provinces atlantiques du Canada et la possession britannique de Bermude utilisent aussi ce fuseau horaire pendant l'hiver boréal, mais elles avancent au fuseau GMT-3 pendant l'été boréal.

La République Bolivarienne du Venezuela a établi comme son heure légale celle que correspond à GMT-4:30. Cela se doit à que le méridien 67 degrés 30 minutes a l'ouest de Greenwich, que constitue la frontière entre les fuseaux horaires GMT-4 et GMT-5, divise le territoire national en deux morceaux presque égaux. En conséquence, l'heure solaire au centre du pays est similaire a l'heure légale. Ce fait comme nous avons vu ne se produit pas couramment au reste de la planète, où la tendance est de bouger les fuseaux horaires vers l'est. À l'est du Vénézuela l'heure solaire n'est jamais à plus d'une demi heure d'avance par rapport à l'heure légale, et à l'ouest du pays l'heure solaire n'est jamais a plus d'une demi heure d'avance par rapport à l'heure légale. En raison de la proximité du territoire national à la ligne équatoriale, la différence d'illumination solaire entre tous le mois de l'année es petite, donc il n'y a pas de raisons substantielles pour avancer l'heure légale pour diminuer la consommation d'énergie.

Les Républiques de Colombie (y compris l'archipel de Saint André), Équateur, Pérou, Panama, Haïti et Jamaïque, et aussi la possession britannique des îles Caïman, partagent le fuseau horaire GMT-5 pendant toute l'année. Les Républiques de Cuba et des Bahamas, la possession britannique de Turks and Caicos et l'est des États-Unis et du Canada partagent le fuseau horaire GMT-5 pendant l'hiver boréal et avancent leurs horloges une heure jusqu'à GMT-4 pendant l'été boréal.

Les Républiques de Costa Rica, Nicaragua, Honduras, El Salvador, Guatemala, Belize et la province canadienne du Saskatchewan partagent le fuseau horaire GMT-6 pendant toute l'année. La plupart du Mexique et le centre des États-Unis d'Amérique et du Canada utilisent aussi le fuseau horaire GMT-6 pendant l'hiver boréal et ils avancent leur horaire jusqu'à GMT-5 pendant l'été boréal.

L'état mexicain de Sonore et l'état étasunien d'Arizona maintiennent le fuseau GMT-7 pendant toute l'année. Les états mexicains de Nayarit, Sinaloa, Basse Californie du Sud et Chihuahua, les états proches aux montagnes rocheuses aux États-Unis (sauf l'Arizona), la province canadienne d'Alberta et les Territoires canadiens du nord-ouest partagent le fuseau horaire GMT-5 pendant l'hiver boréal et avancent leur horaire au fuseau GMT-6 pendant l'été boréal.

La possession britannique de Pitcairn dans l'Océan Pacifique utilise le fuseau GMT-8 pendant toute l'année. L'état mexicain de Basse Californie du Nord, la côte pacifique étasunienne, la plupart de la province Canadienne de la Colombie Britannique et le territoire canadien du Yukon partagent le fuseau horaire GMT-8 pendant toute l'année et ils avancent leurs horloges jusqu'au fuseau GMT-7 pendant l'été boréal.

L'archipel des îles Gambier, en Polynésie Française, utilise le fuseau horaire GMT-9 pendant toute l'année. L'état nord-américain d'Alaska (à l'exception des îles Aleutianes) utilise le fuseau horaire GMT-9 pendant l'hiver boréal et il avance au fuseau GMT-8 pendant l'été boréal. Les îles Marquises, aussi dans la Polynésie Française, utilisent le fuseau horaire GMT-9 pendant toute l'année.

Les îles de Tahïti et Bora-Bora, en Polynésie Française, les îles de Cook et Tokelau appartenant à la Nouvelle-Zélande, et l'etat insulaire étasunien de Hawaï partagent le fuseau horaire GMT-10 pendant toute l'année. Les îles Aleutianes en Alaska aussi utilisent aussi le fuseau horaire GMT-10 pendant l'hiver boréal et elles avancent jusqu'à GMT-9 pendant l'été boréal.

Avant de franchir de nouveau la ligne international de changement de date, nous arrivons finalement au dernier fuseau horaire, GMT-11. Nulle autre part de la planète présente arrive a une heure ou date quelconque du calendrier plus tard. Dans cette région de l'Océan Pacifique, les îles étasuniennes Midway et Samoa, et l'île néozélandaise de Niue partagent ce fuseau horaire pendant toute l'année. Ces îles se trouvent prochaines des îles Phoenix (GMT+13) au Kiribati. Quand à Midway, Samoa et Niue c'est le 22 avril à 2h30, aux îles Phonix de Kiribati et au Royaume de Tonga l'heure est aussi 2h30, mais la date se transforme au 23 avril.

Au monde globalisé d'aujourd'hui, nous pouvons voir les différences entre les fuseaux horaires comme une opportunité pour distribuer le temps dans la planète au bénéfice de l'humanité entière. Par exemple, les équipes de création de software en Californie (GMT-8 ou GMT-7, selon la saison) pendant les soirs se communiquent avec leur collègues à Bangalore (GMT +5:30) car c'est le matin en Inde et ils peuvent tous échanger de l'information. Alors les ingénieurs indiens continuent le travail et se réunissent de nouveau par téléconférence au crépuscule avec les californiens, qui à leur tour sont en train d'arriver à leurs postes de travail le matin. Ainsi plusieurs compagnies peuvent doubler leur productivité car leur force de travail globale est occupée 24 heures par jour. Pendant le temps que quelques-uns reposent, les autres perfectionnent le travail et délèguent la responsabilité chaque douze heures.

En raison de la situation géographique du Vénézuela, les horaires les plus convenables pour nous communiquer avec l'Europe, l'Afrique et le Moyen Orient se produisent pendant le matin, car nos interlocuteurs lointains travaillent pendant l'après midi. L'horaire le plus convenable pour nous communiquer avec l'ouest de l'Amérique du Nord est pendant notre après-midi, car pour eux c'est presque midi. Notre communication avec l'Océanie s'optimise quand le soleil se couche pour nous, car le lendemain matin est déjà bien établi pour eux. Notre communication avec l'Asie est la plus difficile, nous devons planifier les conférences avec eux soit pendant notre aube, quand c'est déjà le soir pour eux, ou alternativement le soir doit être bien entré pour nous pendant que le soleil est en train de se lever pour eux. Même si l'adaptation de notre horaire local aux relations globales résulte peu commode, les bénéfices que nous pourrons acquérir grâce à un monde interconnecté valent bien un effort pour transcender de différent fuseaux horaires, climats, langues et cultures.

Rubén Rivero Capriles

Original en espagnol à Caracas, 23 avril de 2009.

Traduction française par l'auteur à Caracas, 6 septembre 2009.

 

 

Amitié et résumés

Lors de ton avance dans la vie, ton temps disponible se rend plus étroit et tu dois prendre des décisions et tu dois établir des priorités. Ces décisions blessent parfois les autres personnes, mais il faut que tu continues et que tu permets au temps cicatriser les blessures des autres. Chaque amitié nouvelle ou renouvelée est une semence requérant tes soins mais tu peux offrir un espace dans ta vie pour ces soins, au coût même de renoncer a ton exclusivité précédente pour ceux qui furent blessés.”

rroopstr le 10 août 2009

 

Dans un moment donné ton lecteur typique de résumés, en train de prendre soin de ses nombreuses affaires personnelles, soudainement est nourri par la force avec un papier qui lui arrive d'un écrivain quelconque de résumes, qui prétend une activité perpétuelle à travers de douzaines de verbes transitifs conjugués au temps détermine, qui reflètent une partition du temps. La collection de ces verbes transitifs, cependant, impressionne dans le lecteur une illusion de permanence parmi le temps, alors les verbes de l'écrivain sont instruits au lecteur comme des adjectifs. Ton lecteur typique de résumés aperçoit l'écrivain quelconque de résumés comme une personne en permanence et simultanément agréable, serviable, érudit, capable, disponible, convertible, traduisible mais peu après... exhaustible."

rroopstr le 21 août 2009

 

Amistad y currículum vitae

"Al avanzar en la vida, tu tiempo disponible se torna más escaso y tienes que tomar decisiones y establecer prioridades. Estas decisiones a veces hieren a otras personas, pero debes seguir adelante y dejar que el tiempo cicatrice las heridas de los demás. Cada amistad nueva o renovada es una semilla que requiere de cuidados y debes ofrecer un espacio en tu vida para dichos cuidados, incluso al costo de renunciar a tu exclusividad previa hacia quienes fueron heridos."
rroopstr el 10 de agosto de 2009

"En un momento dado tu lector promedio de currículum vitae, mientras atiende sus numerosos asuntos personales, súbitamente es alimentado por la fuerza con un papel que le llega de cualquier escritor de currículum vitae, quien pretende una actividad perpetua a través de docenas de verbos transitivos conjugados en un tiempo determinado que reflejan una partición del tiempo. La colección de estos verbos transitivos, sin embargo, impresiona en el lector una ilusión de permanencia en el tiempo, por lo que los verbos del escritor son procesados como adjetivos por el lector. Tu lector promedio de currículum vitae percibe a cualquier escritor de currículum vitae como alguien permanentemente y simultáneamente agradable, servicial, erudito, capaz, disponible, convertible, traducible y poco tiempo después... exhaustible."
rroopstr el 21 de agosto de 2009

On friendships and resumés

 

"As you move forward in life, your available time becomes scarcer and you've
got to make decisions and establish priorities. These decisions sometime
hurt other people, but you must move forward and let time heal the other
person's wounds. Each new or renewed friendship is a seed demanding care and
you must make room in your life for such care, even at the expense of
waiving your prior exclusivity toward the wounded."
rroopstr on August 10, 2009


"At a given moment your average resumé reader,
while worrying about a number of his/her own personal issues, gets suddenly
force-fed with a piece of paper written by any resumé
writer who claims perpetual activity through dozens of action verbs conjugated
at a given tense reflecting a partition of time. The collection of these action
verbs, however, impresses upon the reader an illusion of time permanence, so
the writer's verbs are processed as adjectives by the reader. Your
average resumé reader perceives any resumé writer as someone permanently and
simultaneously agreeable, serviceable, knowledgeable, capable, available,
convertible, translatable and not much later... exhaustible."
rroopstr on August 21, 2009

"Impuesto y gasto" demócrata vs. "menos impuestos pero que sigan los gastos" republicano

Los demócratas partidistas todavía no han captado que la imposición de impuestos para gastarlos no es una política fiscal viable. Los republicanos partidistas no se han percatado que "menos impuestos pero igual nivel de gastos mientras se culpa a los 'demócratas socialistas' por su libertinaje" tiene aún menor sentido fiscal. En otras palabras, podemos agradecer a ambos partidos por el curso de desplome fiscal en el que estamos incritos.

A continuación se resumen las conclusiones sobre un interesantísimo debate a través de Facebook. Agradezco a Dale Wettlaufer, Ira Malis, Lindsey Truscott Breslin y Laura Boydston por hacer posible la redacción de este ensayo. También agradecemos a mi abuelo, Sr. Moisés Capriles, por la gran ayuda que nos proporcionaron su experiencia, sano escepticismo y por su desligado punto de vista.

Los perros azules nos han mostrado lo obvio. EL 10% de la izquierda de Nancy Pelosi y el 10% de la población en la ultraderecha se compensan con el 80% de los votantes que se encuentran entre ambos extremos. ¿Por qué no puede haber un candidato en las elecciones primarias que se atreva a desafiar los flecos de su partido? Quizás necesitemos un tercer partido de centro.

Hace algunas décadas la mayoría de los votantes eran lo suficientemente moderados y casi no establecían diferencias entre los republicanos moderados y los demócratas moderados. Pareciera existir una sustancialmente mayor polarización general en la actualidad, en parte gracias al aporte mediático. Muchas personas ya ni siquiera pueden aludir a la poítica porque reciben comentarios peyorativos a sus espaldas tales como 'amantes vegetarianos de Obama' y luego son atacados. ¿Por qué los moderados sensibles no dan la cara? El electorado debe vencer a los flancos de ambos partidos. Ellos no están haciendo lo que el electorado desea, simplemente tratan de mantener sus cargos, tratan de quedarse en el poder.

El estado de la conversación política se ha deteriorado probablemente tanto como la situación general de la deuda de los Estados Unidos. Se debería requerir del gobierno un enfoque contable de sentido común. La ironía del Congreso estadounidense que acusa a la comunidad corporativa norteamericana de que su contabilidad está sucia, a la luz de los escándalos de Enron, Adelphia, Tyco y Worldcom, es una farsa muy lamentable. El presupuesto federal no toma en consideración ninguno de los pasivos por gastos médicos del seguro social que crecen cada año a raíz del retiro de la generación del "Baby Boom". Si las corporaciones utilizaran para ellas mismas este tipo de contabilidad, sus Oficiales Ejecutivos Jefe y sus Oficiales Financieros Jefe estarían tras las rejas. De igual modo ocurriría con la situación fiscal norteamericana de establecerse un régimen contable racional y sobrio. Por consiguiente está en toda la población el sacrifificarse. Aquéllos que devengan mayores ingresos probablemente verán mayores tasas impositivas, lo cual significa que tendrán que ahorrar e invertir más para mantener la misma tasa de crecimiento, ceteris paribus. Aquéllos con menores ingresos tendrán que retirarse a una mayor edad y recibir menores beneficios cuando se retiren.

USA Today reportó en 2008 que el programa del gobierno federal respecto para los beneficiarios sobre sus derechos a los pasivos mencionados totaliza $57 billones ($57 trillion en inglés), y los pasivos de Medicare sin fondos asignados totalizan $30 billones ($30 trillion en inglés). Bajo las reglas contables estadounidenses GAAP para las corporaciones, estos pasivos se incrementarían a una tasa determinada que refleje el relajamiento de la tasa de descuento por la cual los pasivos futuros fueron descontados. Si utilizamos la tasa de interés del gobierno federal (el sector privado utilizaría la tas de bonos AA), el gasto que veríamos reflejado en el presupuesto sería de $690 millardos ($690 billion en inglés). Esto no aparece el el presupuesto federal porque el gobierno de los Estados Unidos utiliza un sistema contable diferente, basado en el dinero en efectivo, en lugar del sistema contable acumulativo utilizado por las corporaciones estadounidenses y la mayoría de las corporaciones alrededor del mundo, el cual reconoce la acumulación de pasivos futuros a medida que nos movemos desde el presente hacia el futuro. Para mayor información pueden referirse al artículo de USA Today: http://www.usatoday.com/news/washington/2008-05-18-Redink_N.htm . También recomendamos el libro de Pete Peterson sobre estos temas: Running on Empty: How the Democratic and Republican Parties Are Bankrupting Our Future and What Americans Can Do About It. Pete Petersons es el presidente del grupo Blackstone, fue Secretario de Comercio, y fue presidente del Consejo para Relaciones Exteriores: http://en.wikipedia.org/wiki/Peter_George_Peterson . Es una de las personas más acaudaladas en los Estados Unidos y muy ducho en contabilidad.

La presencia militar estadounidense alrededor del mundo probablemente deberá reducirse en escala. La deuda debe ser pagada, el consumo debe reducirse a favor del ahorro. Finalmente, si (el gran si) la economía de los Estados Unidos logra evitar la presión inflacionaria, los intereses sobre la deuda nacional no hundirán el país. La naturaleza a corto plazo de la deuda superior a $11 billones ($11+ trillion en inglés) implica que si se duplica la tasa de interés se añadirían más de $250 millardos ($250 billion en inglés) en gastos por intereses al presupuesto federal. Para el segundo trimestre de 2009, los gastos por intereses anualizados del gobierno federal llegaban a los $277 millardos ($277 billion en inglés), según la página web de la Oficina de Análisis Económico, Ingreso Nacional y Cuentas Públicas: http://bea.gov/national/nipaweb/Index.asp. Si las tasas de interés se duplican con relación a los niveles actuales, que son bajos en comparación a los últimos 40 años, un desenlace al cual somos vulnerables dado el déficit en cuenta corriente y la dependencia hacia los acreedores foráneros que soportan ese déficit, los gastos por intereses sobrepasarían los $500 millardos ($500 billion en inglés) con tasas más elevadas y mayor deuda pendiente. Aquí es donde las cosas pudieran rodar fuera de control.

Las cifras anteriores eran fidedignas para el 16 de agosto de 2009. La fuente es la Tesorería estadounidense en http://www.treasurydirect.gov/NP/BPDLogin?application=np . La deuda gubernamental federal externa total pagadera al público era de $7,3 billones ($7.3 trillion en inglés) al momento de redacción. La deuda pública pendiente total era de $11,6 billones ($11.6 trillion en inglés), considerando tenencias intergubernamentales de deuda por $4,3 billones ($4.3 trillion en inglés). Además, los gastos por intereses del gobierno federal estadounidense corrieron alrededor de $277 millardos ($277 billion en inglés) anualizados en el segundo trimestre de 2009. La fuente es la Oficina de Análisis Económico, línea 29, en http://bea.gov/national/nipaweb/TableView.asp?SelectedTable=87&Freq=Qtr&FirstYear=2007&LastYear=2009s . Esto implica una tasa anualizada del 2,4%, lo que indica una madurez promedio de la deuda federal estadounidense de alrededor de 6 años, según la curva actual de rendimiento suministrada por Bloomberg. Si las tasas suben a 4,8%, esto sería 4,8% * $11,6 billones ($11.6 trillion en inglés), o un nuevo gasto por intereses de $556 millardos ($556 billion en inglés), por gastos de margen de aproximadamente $280 millardos ($280 billion en inglés).

Hay optimismo acerca de las tecnologías verdes que crean un cambio masivo para la sociedad global que podrían crear una enorme fuente de crecimiento secular para los Estados Unidos, al establecerse una cultura de menor consumo de combustibles fósiles. El déficit comercial pudiera disminuir, los recursos liberados pudieran ahorrarse o ser invertidos en nuevas tecnologías, y los empleos y ganancias creados pudieran aumentar la base tributaria tanto estadounidense como mundial. Los grandes perdedores en este escenario serían la OPEP y las antiguas repúblicas soviéticas, lo que pos supuesto será malo para Boeing, Hermes, las fincas de caballos purasangre de Sudáfrica y los EE.UU., Sotheby's, Ferrari, y similares. Siempre habrá vencedores y perdedores. En resumen existe un largo y arduo camino por recorrer y sería excelente si todos nos pusiéramos de acuerdo sobre la lucha por compartir. Los epítetos fomentados por gente como Rush Limbaugh y el Senador Franken no resultan útiles a nadie.

Algunos carnívoros, votantes por el partido republicano de larga data, votaron por Obama porque el partido republicano rodó fuera de control. No se sienten cómodos con algunas propuestas dentro de la plataforma de la actual administración, pero son bastante mejores que lo que McCain y el partido republicano ofrecían y habían ofrecido. Sin embargo, Al Gore tuvo una idea correcta respecto a la "caja trancada" (lock box), y si él no fuese tan opuesto a los negocios y hubiese podido refinar mejor la problemática de la tasa impositiva, él hubiese sido un presidente por dos períodos. Desafortunadamente él realmente lo chapuceó. Estaba en el camino correcto respecto al derecho de financiamiento.

Los congresistas que se describen públicamente como liberales o progresistas recibieron un voto combinado de 72,9 millones de estadounidenses. El récord de votos de Nancy Pelosi la coloca entre la tercera parte más conservadora de los representatntes demócratas. No sólo es de hecho inexacto describir a los EE.UU. Como un país 10% liberal, también es inexacto describir a Pelosi como alguien entre los más liberales.

Hasta el más breve vistazo a los gastos históricos como porcentaje del PIB y gastos totales gubernamentales (en términos ajustados a la inflación) muestra que el partido republicano ha incrementado el tamaño del gobierno más que el partido demócrata en cada añó en que han detentado la presidencia desde 1953. En otras palabras, los republicanos continuamente y constantemente han superado a los demócratas en el incremento del tamaño del gobierno y las únicas reducciones del gobierno en tamaño y costo, relativas al PIB y el empleo, han ocurrido durante administraciones demócratas. La última vez que un presidente demócrata votó por o firmó un incremento de los impuestos para la mayoría de los estadounidenses fue en 1964. De hecho, en términos ajustados a la inflación, en ningún momento durante nuestras vidas como votantes un demócrata ha presentado una factura mayor que aquélla de cualquier presidente republicano. Es interesante notar que la noción de los demócratas favorables a "impuestos y gastos" todavía sigue arraigada.

Éste es un uso creativo de las estadísticas. Debido a la falta de límites por períodos, es difícil hacer desocupar a un titular, especialmente a un titular azul en un estado azul o a un titular rojo en un estado rojo. Es decir que sólo porque 72,5 millones de personas eligen a personas que se autodescriben como liberales o progresistas realmente no prueba nada. Si los 2/3 de los demócratas fuesen más liberales que Pelosi, ello constituiría una preocupación. Nuevamente, las estadísticas pudieran estar engañándonos. Como la mayoría de los demócratas o republicanos se apoyan entre ellos mismos, sólo son necesarios pocos votos en contra del partido para ser catalogado como menos liberal. En cualquier voto importante para la extrema izquierda, Pelosi ha votado a favor de ese grupo.

Vencer al comunismo y defender a los Estados Unidos no es barato. Por ello el escuchar a Obama hablar acerca de ser "fiscalmente responsable" luego del rebosado programa de estímulos con los déficits presupuestarios proyectados, es algo risible. Según el National Journal, que califica tanto a los liberales por su liberalismo al igual que a los conservadores por su conservadurismo, Nancy Pelosi (en 1996, el último año en que ella fue calificada ya que al portavoz no se le califica) era la vigésima congresista más liberal en la Cámara de Representantes. Fue catálogada como más liberal que Maxine Waters, Barney Frank, y el autodescrito socialista Bernie Sanders, antes que éste se incorporara al Senado.

El párrafo inicial utilizó el peyorativo "impuestos y gastos" y lo volteó en sí mismo como un comentario en la estrategia fiscal del partido republicano durante los últimos 30 años. El punto era que ambos partidos auspician el gasto ya que ambos están poblados por políticos que desean ser reelectos. Ambos partidos contribuyeron con el sostenido crecimiento de programas de gastos con escalada automática, que resultan a una tasa compuesta en el tiempo mayor a la tasa compuesta de la base tributaria. Eventualmente esto resultará en una crisis, a la que tendremos que hacer frente durante la próxioma década si los gastos a favor de beneficiarios no cambian. Quizás la única forma de solucionar la situación deudora del presupuesto federal estadounidense provenga por contribuciones a través del espectro de ingresos. Quienes gozan de altos ingresos tendrán que aportar más y los beneficiarios del gasto gubernamental tendrán que esperar menos si queremos encontrar nuestro camino hacia afuera.

Si la reducción en escala de la presencia militar estadounidense cambia, la percepción hacia los Estados Unidos durante el siglo XXI por parte de la población del resto del mundo se tornará mucho más positiva. El estado actual de los asuntos en Venezuela también fue debatido en nuestra discusión original. Como nación fundadora de la OPEP en el hemisferio occidental, es irónico que Venezuela ahora se esté volviendo un importador neto de café. Una de las ventajas comparativas que Venezuela ofrece al mundo hoy en día, radica en que muchos de sus ciudadanos con educación superior comprenden y son capaces de lidiar con las recesiones y malos tiempos económicos, con mayores herramientas y experiencia que los ciudadanos de los países desarrollados, quienes han sido consentidos hasta muy recientemente. Los cubanos de la Florida que rápidamente aprendieron a ser exitosos constituyen una comparación válida. Aparte de ello, es triste notar que la pseudo-riqueza petrolera está por desvanecerse. Al menos Dubai utilizó su dinero petrolero sabiamente, y está bien preparado para el futuro escenario mundial de tecnologías verdes.

Existe cierto optimismo en el exterior sobre Venezuela a largo plazo. Colombia proporciona un excelente ejemplo de cómo un país puede revertir su problemática. Venezuela está ubicada en un lugar ideal entre el Atlántico y el Pacífico, cercano al Canal de Panamá, tiene aproximadamente 2.000 kilómetros de costa en el Caribe, excelentes recursos hídricos renovables (un grave asunto en este siglo XXI), abundantes reservas de mineral de hierro, y una base manufacturera. De llegar al poder un nuevo gobierno moderado durante una recuperación económica global, el crecimiento en la riqueza privada junto a la protección de las libertades civiles enrumbarían al país. La paciencia es una virtud que se debe practicar.

Gracias nuevamente a Dale Wettlaufer, Ira Malis, Lindsey Truscott Breslin, Laura Boydston y a mi abuelo Moisés Capriles por la buena discusión. Ahora trataremos de localizar el reporte contable basado en acumulación del gobierno estadounidense vs. la contabilidad presupuestaria basada en el efectivo. Seguimos dispuestos a continuar este tipo de discusión casi a través de hemisferios y entre diversas generaciones.

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Rubén Rivero Capriles. Caracas, 17 de agosto de 2009

Democrats' Tax and spend vs. Republicans' tax less and spend just as much (enhanced on Aug. 18, 2009)

Partisan Democrats have not got yet that tax and spend isn't a viable fiscal policy. Partisan Republicans have not realized that "tax less and spend just as much while blaming 'socialist Democrats' for their profligacy" makes even less fiscal sense. In other words, we can thank both parties for the fiscal crash course we are on.

Below are summarized the conclusions of a very interesting debate on Facebook. I thank Dale Wettlaufer, Ira Malis, Lindsey Truscott Breslin and Laura Boydston for making this essay possible. I also thank my grandfather, Mr. Moisés Capriles, for his helpful experience, healthy skepticism and detached point of view.

The blue dogs have shown what is obvious. The 10% of the population that is the Pelosi left and the 10% of the population that is the loonie right, are offset by the 80% of voters that fall in between. Why can't there be a candidate through the primaries that dares to fight his or her party's fringe? Maybe a third party in the middle is what is needed.

A few decades ago most voters were fairly moderate and did not much differentiate a middle of the road Republican from a middle of the road Democrat. It seems that there is much more polarization over all now, thanks a bit to the media as well. People can't even raise politics as they get called behind their back as vegetarian Obama lovers and are attacked later. Why aren't the sensible moderates standing up? The electorate needs to take on the fringe of both parties. They are not doing what their electorate wants, they're just trying to stay in office, to stay in "power".

The state of political conversation has probably deteriorated at the same rate as the United States overall debt situation. A commonsense accounting approach must be demanded first from the government. The irony of the U.S. Congress telling corporate America in the wake of Enron, Adelphia, Tyco, and Worldcom its accounting is dirty is a very sad farce. The federal budget takes into account none of the future healthcare liabilities that are growing every year as the Baby Boom hurtles toward retirement. If corporations accounted for themselves in this way, their CEOs and CFOs would be locked up. So would the U.S. fiscal situation with a rational and sober accounting regime. Then it's pretty much up to all of us to sacrifice. Higher-income people are probably going to see higher tax rates, which means they will have to save and invest more to keep up the same rate of growth, all else equal. Lower-income people are going to need to retire later and receive fewer benefits when they do.

USA Today reported in 2008 that the Federal government's entitlement program liabilities total $57 trillion and unfunded Medicare liabilities total $30 trillion. Under US GAAP accounting for corporations, that liability would accrete (grow) at some rate reflecting the unwinding of the discount rate at which the future liabilities were discounted. If we use the federal government interest rate (the private sector would use a AA bond rate), the expense you would see in the budget would be $690B. That is not in the federal budget because the US government uses a different, cash accounting, system and not the accrual accounting system US corporations (and pretty much corporations around the world) use to recognize the accretion of future liabilities as they move from the present to the future. This USA Today article has more on it: http://www.usatoday.com/news/washington/2008-05-18-Redink_N.htm . We also recommend Pete Peterson's book on these issues: Running on Empty: How the Democratic and Republican Parties Are Bankrupting Our Future and What Americans Can Do About It. Pete Petersons is the Chairman of the Blackstone Group, former Commerce Secretary, and former Chairman of the Council of Foreign Relations: http://en.wikipedia.org/wiki/Peter_George_Peterson. He is one of the wealthiest people in the United States and is well versed in accounting.

American military presence around the world will probably need to be scaled back. Debt must be paid down, consumption must decrease to favor savings. Finally, if (the big if) the U.S. economy is able to avoid inflation, the interest on national debt won't sink the country. The short-term nature of the $11+ trillion in national debt means a doubling in interest rates would add more than $250 billion in annual interest rate expense to the federal budget. As of the second quarter of 2009, annualized interest expense for the federal government ran at $277 billion, according to the Bureau of Economic Analysis' National Income and Product Accounts website: http://bea.gov/national/nipaweb/Index.asp. If interest rates double from levels that are low compared to the last 40 years, an outcome to which we make ourselves more vulnerable given current account deficits and reliance upon external creditors to support that deficit, interest expense would surpass $500 billion with higher rates and higher debt outstanding. That's where things could start to spin out of control.

The figures above were accurate on August 16, 2009. The source is the U.S. Treasury at http://www.treasurydirect.gov/NP/BPDLogin?application=np . Total external US federal government debt held by the Public, outstanding was $7.3 trillion at the time of writing. Total public debt outstanding was $11.6 trillion, which counts intra-governmental holdings or debt of $4.3 trillion. Moreover, US federal government interest expense ran at $277B annualized in Q2 2009. The source is the  Bureau of Economic Analysis, on line 29 at
http://bea.gov/national/nipaweb/TableView.asp?SelectedTable=87&Freq=Qtr&FirstYear=2007&LastYear=2009. This implies a 2.4% annualized rate, which indicates an average maturity on US federal debt of about 6 years, looking at the current yield curve on Bloomberg. If rates go to 4.8%, that's 4.8% * $11.6 trillion, or a new interest expense of $556B, for margin expense of roughly $280B.

There is optimism about green technologies creating a massive change for global society and creating a huge secular growth driver for the U.S. when a culture of fewer fossil fuel consumption is established. The trade deficit could fall, the freed-up resources could be saved or invested in new technologies, and the jobs and profits created would enhance the US's and the world's tax base. The biggest losers in that scenario would be the OPEC and former Soviet Union nations, which of course is bad for Boeing, Hermes, South African and US thoroughbred horse farms, Sotheby's, Ferrari, and the like. There are always winners and losers. In all, there is a long, hard road ahead and it would be great if everyone could agree on the fight to share. The name-calling fomented by the likes of Rush Limbaugh and Senator Franken is useless for all.

Some red-meat-eating longtime GOP voters voted for Obama because the GOP spun out of control. They are uncomfortable with a few things in the current administration's platform, but it's a sight better than what McCain and the GOP were offering and had offered. Moreover, Al Gore had the right idea with the "lock box," and if he weren't so anti-business and were able to finesse the tax rate thing better, he would have been a two-term President. He really botched it, unfortunately. He was on the right track with entitlement funding.

Congresspeople who publicly describe themselves as liberal or progressive received a combined vote total of 72.9 million Americans. Pelosi’s voting record puts her in the top 1/3 most conservative House democrats. Not only is it factually inaccurate to describe America as 10% liberal, it is inaccurate to describe Pelosi as among the most liberal.

Even the briefest glance at historical spending to GDP ratio and total government spending (in inflation adjusted terms) shows that the Republican party has grown the government more than the democratic party in every year they have held the presidency since 1953. In other words, the Republicans have continually and consistently outpaced the democrats in growing the size of the government and the only shrinkages of government in size and cost, relative to GDP and employment, have been under democratic administrations. The last time a democratic president voted or signed an increase on taxes on the majority of Americans was in 1964. In fact, in inflation adjusted terms, at no time in our voting lives has a Democrat submitted a bigger bill than any Repbulican president has. It’s interesting that the notion of tax and spend democrats still holds strong.

This is a creative use of statistics. Because of the lack of term limits, it is hard to beat an incumbent, especially a blue incumbent in a blue state or a red incumbent in a red state. So just because 72.5 million people elect people that self-describe as liberal or progressive does not really prove everything. If 2/3 of the democrats were more liberal than Pelosi, that would become a concern. Again, the statistics above may be misleading. Since most Democrats and Republicans stick together, it only takes a few votes against the party to have your record shown as less liberal. On any important vote for the ultra-left, Pelosi has voted with that group.

Defeating communism and defending the United States is not cheap. So to hear Obama talk about being "fiscally responsible" after the pork-laden stimulus program and the budgets and deficits he is projecting, is laughable. According to the National Journal, which rates both liberals as to their "liberalness" and the same for conservatives, Nancy Pelosi (in 2006, the last year she was rated as they don't rate the speaker), was was the 20th most liberal congressperson in the House. She was ranked more liberal than Maxine Waters, Barney Frank, and self-described socialist Bernie Sanders (before he joined the Senate.

The opening paragraph used the pejorative, "tax and spend," and turned it on itself as a comment on the GOP fiscal strategy over the last 30 years. The point was that both parties are spenders because they are both populated by politicians who desire re-election. Both contributed to ever-increasing spending programs that have automatic escalators, resulting in a compounding rate over time greater than the compounding rate of the tax base. Eventually that results in a crisis, which will be faced in the next ten years if entitlement spending is not changed. Perhaps the only way to get the US federal budget and debt situation fixed is through contributions to the solution from across the income spectrum. High-income earners will have to give more and recipients of entitlement spending should expect less if we want to work our way out of it.

If the suggested scaling back of US worldwide military presence happens, 21st century United States standing to the population of the rest of the world will become much more positive. The current state of Venezuelan affairs was also referred to on our original discussion. As OPEC's founding nation in the Western Hemisphere, it is ironic that Venezuela is becoming a net coffee importer. One of the few comparative advantages that Venezuela offers to the world nowadays, is that some of its well-educated citizens understand and are able to deal with recessions and bad economic times with better tools and experience than citizens of developed countries, which have been pampered until very recently. The Cubans in Florida who quickly learned how to succeeed are a valid comparisom. Other than that, it is sad to see that the oil pseudo-wealth will just vanish. At least Dubai used their oil money wisely and are well prepared for the future green world scenario.


There is some optimism abroad about Venezuela long-term. Colombia provides an excellent example of how a country can turn around. Venezuela is ideally situated long-term between the Atlantic and the Pacific near the Panama Canal, it has 2,000 km of Caribbean coastline, excellent renewable water resources (a huge issue in the 21st century), good iron ore reserves, and a manufacturing base. Should a new moderate government arise during a global economic recovery, growth in private wealth along with protection of civil freedoms, the country could be on its way. Patience is a virtue that must be practiced.

Thanks again to Dale Wettlaufer, Ira Malis, Lindsey Truscott Breslin and Laura Boydston for the good discussion. We will now try to track down the U.S. government accrual accounting report vs. US budget cash accounting. We are looking forward in keeping a discussion of this sort nearly across hemispheres and across generations.

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Rubén Rivero Capriles
Caracas, August 17, 2009

My first interview: Art is commitment and support for life

"Each new technology ends up converting interesting plastic proposals into obsolete"

An approximation to the plastic legacy of Rubén Rivero Capriles, by Alvaro Pérez Capiello

A cloudy afternoon, when the mountain seemed to avoid the stress of a city in perpetual movement, we initiated an informal conversation with Rubén Rivero Capriles. Plastic artist and admirer of abstraction regarding exploratory art that looks for new ways of expression, in face of the objective reality, he did not hesitate remembering Kandinsky, Malevich and Mondrian.

Which authors and sculptors do you specially admire?

El Greco was a precursor of modern psychology through his highly complex themes and characters, defying the moral and religious standards of his time. Salvador Dalí, through his drawings, yuxtaposed dream elements without an apparent formal relationship between them, achieving a beautiful wholeness. Henri Matisse rebelled against the academic painters who received many awards at the French salons of his time. I admire Aramndo Reverón, who under the lights of the tropics made his own an itemization similar to the whiteness and texture of the snow and ice within the complex vocabulary of the native eskimo people. Tomás Golding, in turn, offers a happy treatment of the orange color and a varied pallet of pictorical themes that make his paintings unrepetitive, even while featuring his seal

Is an artist born, or is he made through experience?

All human beings are born with some artistic potential that is manifested through experience through unsuspected ways. Experience, however, also becomes a double edged sword when creation, as I particularly noticed in my last few drawings, gets repetitive with a greater frequency.

On which pictorical movement would you classify your work?

Maybe fauvism is out of fashion and had its time, but its treatment of color is central in my proposals. Pointillism, whose postulate of conveying value on each square inch of cloth, was highly criticized at its moment; nowadays it constitutes the basis both for my creations as well as the *.jpg formatted computer files. As a good contemporary Venezuelan I grew up admiring the creations of the cinetic masters. It results uncomfortable for me to say that my work, in pastels and charcoal, are abstract.

How did you search your own style?

I started drawing during the boreal autumn of 1992 to comply with an art requirement imposed by my undergraduate institution, Hamilton College. I am thankful that the liberal arts scheme comelled me to take that Drawing 101 course. I started from scratch, with no previous technique or experience. My professor, Lou Getty, decided from the very beginning not to impose any particular style on me and suggested me to look for my own path. It resulted in the only A+ grade I earned during my whole undergraduate career. Later on I took with her a Sculpture course where one of my works, “The pregnant man”, was strongly criticized by some classmates due to the controversial issue at hand. This proves that the role of any artist is to impress emotions upon the spectator.

Do you share your plastic work with other activities?

I share my plastic work with the presidence of a U.S. usiness specializaed in imports and exports of raw materials and intermediate goods. I also serve as the sales manager of a company that distributes in Venezuela various industrial products. I write bilingual articles weekly on various topics and I am a Spanish, English and French translator.

Do you consider that the glleries in Venezuela adequately promote the artists' work?

The art market is probably the world's most speculative. It leaves in diapers the stocks and the foreign exchange markets. It is an enormous injustice for van Gogh that his works, today, are valued within tens of millions of dollars, while during his time he was unable to earn a decent living through their sale. On my part, I have allocated the sale of my works to the private Odalys Gallery in Caracas.

Art vs. Authenticity

After a needed pause, the interviewed did not hesitate to focus some words to the personal commitment of any artist.

Whenever an artist subordinates his commitment to the current social current, he or she risks leaving his art on an inferior plane and he or she is converted into an advertising agent of a given ideology.

After revising the 19th century Art History, we find out that there were many artists who, while trying to perfectly follow the “ism” of the moment, they were unable to leave their own real legacy. Their commitments, either by economic or other motives, were in contradiction with universality.

The commitment at the ecological level is more difficult to discern. Although many artists intend to impress our commitment to the planet's ecology, we certainly use paints, thinner and fixation spray that are highly toxic and polluting to the environment. However, current technology has not yet resolved this issue which, to my understanding, contradicts our ideals of diminishing life destruction on Earth.

Definitely, an interconnected humanity will be less prone to keep on inventing devastating wars and international redtape. One of the main motivations in my work is to achieve a cultural understanding between the peoples of the Americas.

Print interview available on http://www.eldiariodecaracas.net/pagina%2020.htm

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Entrevista 6 agosto 2009 como artista pictórico

VERSION DE EL DIARIO DE CARACAS PUBLICADA HOY:
http://www.eldiariodecaracas.net/pagina%2020.htm


1) ¿Consideras que un artista está comprometido?
Un artista está comprometido consigo mismo, con su arte y con lo que le quiere dejar al mundo como legado. Cuando subordina su compromiso a la corriente social de turno el artista corre el riesgo de dejar su arte en un segundo plano y se construye en el artífice publicitario de una ideología dada. Si revisamos la historia del siglo XIX, vemos que hubo muchos artistas que por tratar de seguir a la perfección el "ismo" del momento no lograron dejar un verdadero legado propio. Sus compromisos, ya sea por motivos económicos o políticos, se contradecían con la universalidad. El compromiso a nivel ecológico es más difícil de discernir. Aún cuando muchos artistas intentamos plasmar un compromiso con la ecología del planeta, ciertamente utilizamos pinturas, thinner y aerosoles fijadores que son altamente tóxicos y contaminantes para el medio ambiente. Sin embargo la tecnología actual todavía no ha resuelto este punto que a mi entender es altamente contradictorio respecto a nuestros ideales de disminuir paulatinamente la destrucción del planeta.
 
2) ¿Qué pintores y escultores admiras de manera especial?
El Greco fue un precursor de la psicología moderna con sus temas y personajes altamente complejos y desafiantes a los estándares morales y religiosos de su tiempo. Salvador Dalí en sus dibujos yuxtapuso elementos oníricos sin una aparente relación formal entre ellos pero que forman una hermosa unidad en su conjunto. Henri Matisse se rebeló contra los pintores académicos tan premiados por los salones franceses de su tiempo, y su utilización de colores puros en contraste se mantiene hasta hoy como mi más frecuente referencia. Admiro a Armando Reverón en su período blanco, quien bajo la luz del trópico hizo suyo un desglose similar a la blancura y la textura de la nieve y el hielo presentes en el complejo vocabulario de los pueblos nativos esquimales. Tomás Golding, por su parte, ofrece un alegre tratamiento del color naranja y una variada gama de temas pictóricos que logran que su pintura, aun cuando siempre mantenga su sello, no parezca repetitiva. 
 
3) ¿Cuándo comenzaste a pintar?
Comencé a pintar durante el otoño boreal de 1992, para cumplir un requerimiento de cursos de arte impuesto por mi universidad de pregrado, Hamilton College. Agradezco que el esquema de la educación de artes liberales me haya obligado a tomar ese curso. Comencé desde cero sin ningún tipo de técnica ni experiencia previa. Mi profesora Lou Getty decidió desde un principio no imponerme ningún tipo de técnica y me indujo a buscar mi propio camino. Fue la única calificación A+ que obtuve en toda mi carrera universitaria. Más adelante tomé con ella un curso de escultura donde uno de mis trabajos, "El hombre embarazado" fue fuertemente criticado por lo controversial del tema por algunos de mis compañeros. La profesora Lou dedicó el resto de la clase para explicar que justamente una de las funciones del arte es transmitir a la audiencia propuestas novedosas que logren impactarlos y transmitirles sensaciones que nunca antes hayan experimentado. Ella misma reconoció que muchas de mis propuestas le eran a veces impactantes y le obligaban a abrirse más hacia lo desconocido.  No he vuelto a saber de ella, pero quien soy hoy en día como artista se debe en un enorme grado gracias a su apoyo y motivación por promover mi aporte a la historia del arte actual.
 
4) ¿Un artista nace, o se hace a través de la experiencia?
Todos los seres humanos nacemos con algún potencial artístico que se manifiesta a través de la experiencia de insospechadas maneras. Un ejecutivo que logra transformar una empresa que arrojaba pérdidas en un novedoso proveedor de soluciones altamente apreciadas por el mercado es también un artista, pues utiliza su creatividad y su sentido común para dejar un legado que será apreciado, criticado y consumido por otros. Un ama de casa que dispone de sus módicos ingresos para transformar una humilde construcción en un hogar acogedor, seleccionando muebles y cuadros apropiados para cada recinto, logra combinar el diseño con la arquitectura y los objetos bidimensionales y tridimensionales para beneplácito de sus familiares y visitas. Por otra parte, existen algunos grandes maestros de la técnica cuyo aporte artístico a sus obras, en la subjetiva opinión de otras personas, se torna secundario. La experiencia también se vuelve un arma de doble filo cuando la creación, como particularmente noté en las últimas obras que dibujé, se repite con mayor frecuencia. Es por ese motivo que a finales de 2005 decidí dejar de pintar por algún tiempo, cuando sentí que estaba repitiendo productos pictóricos en serie. En estos últimos tres años mis vivencias recientes me han proporcionado múltiples ideas que estoy con expectativas de lograr finalmente plasmar en obras novedosas, ahora que retomo mis labores como artista..
 
5) ¿Dentro de qué movimiento pictórico colocarías tus obras?
Quizás el fauvismo pasó de moda y tuvo su época, pero su tratamiento del color es central en mis propuestas. El puntillismo, cuyo postulado de plasmar valor en cada centímetro cuadrado de lienzo fue muy criticado en su momento, hoy en día constituye la base tanto de mis creaciones como la de los archivos informáticos en formato jpg. Como buen venezolano contemporáneo he crecido, fortuna no compartida por otros pueblos del mundo, admirando las ceaciones de los maestros cinéticos. De algún modo ellos han influido en mis obras, pero lograr un efecto de movimiento no es para mí una prioridad. Las animaciones tridimensionales disponibles en cualquier computadora equivalen a la fotografía que alguna vez conllevó al desempleo de los grandes retratistas. Cada nueva tecnología termina conviertiendo otrora interesantes propuestas plásticas en obsoletas. Me resulta incómodo decir que mis obras sean "arte abstracto" como usualmente lo catalogo cuado debo encasillarlo de alguna forma por motivos mercadotécnicos, y deseo particularmente encontrar a algún crítico que analice detenidamente mis obras y me sugiera, en su opinión de experto, en cuál de los diversos movimientos pictóricos colocaría mis dibujos en pastel y carboncillo.  
 
6) ¿Compartes tu trabajo plástico con otras actividades?
Yo comparto mi trabajo plástico con la presidencia de la empresa americana Rivero & Cooper, Inc., especializada en la importación y exportación de materias primas y mercancías intermedias y finales entre Venezuela y el resto del mundo. También me desempeño como Gerente de Ventas y Logística en la empresa venezolana Packaging Supplier, C. A., que gestiona la distribución en Venezuela de diversos rubros industriales. Escribo artículos bilingües semanales sobre variados temas políticos, económicos, sociales y culturales, con un énfasis en las relaciones entre Venezuela y el resto del mundo, en mi revista web personal http://www.rroopstr.com. Las ilustraciones de estas páginas web, por supuesto, son mis obras pictóricas digitalizadas. Me desempeño igualmente como traductor técnico, legal y corporativo entre el francés, inglés y español, y presto mis servicios a empresas venezolanas y un bufete paraguayo. Recientemente he dedicado considerable tiempo en promover estas actividades por la web, y he descubierto algunos secretos de Google y sus herramientas para webmasters. Otra reciente actividad ha sido aprovechar el máximo las oportunidades de reconexión social y empresarial disponibles a través de las redes Facebook y Linkedin, con la esperanza de que una humanidad interconectada será menos propensa a seguir inventando guerras y trabas internacionales. Mi labor docente por muchos años incluyó la docencia del inglés y el español y como instructor del programa CCNA de la Academia de Redes Cisco en la Universidad Dr. Rafael Belloso Chacín en Maracaibo.   
 
7) ¿Consideras que las galerías en Venezuela promueven adecuadamente el trabajo de los artistas?
Las galerías en cualquier parte del mundo es poco lo que pueden promover adecuadamente para los artistas en vida, en especial aquéllos que están empezando. El mercado del arte es probablemente el más especulativo del mundo, y deja en pañales a las bolsas y los mercados de divisas. Es una enorme injusticia para van Gogh que sus obras hoy en día valgan cientos de millones de dólares, cuando en su tiempo le fue imposible vender su obra a precios dignos que le asegurasen una subsistencia así fuese precaria. La tormentosa existencia de van Gogh quizás hubiese sido más plácida, duradera y con un aún mayor legado si de algún modo su obra y necesidades de subsistencia hubiesen sido reconocidas en su tiempo. Algunos coleccionistas de hoy en día pagan los precios de mercado para las obras de van Gogh no por su valor intrínseco sino por el status social que generan esas transacciones de compra. Por mi parte, he delegado la venta de mis cuadros en la Galería de Arte Odalys ubicada en Concresa, Caracas. Mis obras por los momentos se subastan por internet ya que debido a mi edad no estoy considerado como uno de los Maestros Venezolanos. Invito cordialmente a ustedes, si desean decorar sus aposentos con mi arte, que gestionen su compras de mis cuadros de 1m x 70cm a través de la Galería Odalys, y así yo lograr el sustento suficiente para seguir desarrollándome como artista.
 
8) ¿Qué cualidades deseables a tu juicio debe reunir un pintor para ser exitoso?
Concluyo esta entrevista repitiendo que un pintor para ser exitoso debe estar comprometido consigo mismo, con su arte y con lo que le quiere dejar al mundo como legado. Al menos para la posteridad eso es requisito para ser exitoso. Pero para lograr el éxito en vida un pintor puede recurrir a producir best-sellers llamativos, con un buen valor publicitario, así no sean reconocidos por la crítica. Recuerdo a la recientemente fallecida Corín Tellado, la escritora más exitosa en lengua española después de Cervantes, a quien muchos criticaron de superflua pero que consiguió en el respetadísimo Mario Vargas Llosa a un póstumo defensor. La disyuntiva entre el ser exitoso en vida o después de muerto sigue generando las mismas interrogantes en los seres humanos vivos en qué tanto reconocemos a los profetas en su tierra.

Rubén Rivero Capriles, dibujante en pasteles y carboncillos.
Caracas, 1 de agosto de 2009


 

Ejemplos de escasez causada por el control de precios

La teoría económica predice que si un gobierno impone un techo para el precio de venta de cualquier bien o servicio, por lo común debajo del precio de mercado que resultaría de la interacción competitiva entre proveedores y clientes, habrá escasez de bienes ya que menos vendedores estarán dispuestos a vender al precio menor, mientras que más compradores tratarán de comprar a dicho precio menor. La demanda excedentaria que no puede ser satisfecha por la oferta existente se contabiliza como la cantidad de escasez.

La Venezuela de hoy se ha convertido en un ejemplo para libros de texto de este axioma macroeconómico. Hace poco en el supermercado no fui capaz de encontrar azúcar ni huevos. Todavía queda algo de café en los anaqueles, pero factores exógenos tales como la falta de lluvias durante 2009 y el anormalmente elevado costo para el productor colombiano de granos de café, están exascerbando la alarma. Venezuela, que fue el principal exportador cafetalero durante el siglo XIX, prontó estará importando café para su consumo interno.

Existe una larga lista de artículos cuyo precio de venta es regulado por el gobierno, a menudo por debajo de los costos de insumos para el fabricante. Además del café, los huevos y el azúcar, la regulación dictamina un precio máximo de venta al público para la leche completa, leche en polvo, pollo, carne, arroz, cerdo, harinas de maíz y de trigo, papel higiénico y mucho más. La mayoría de los bienes anteriores han estado intermitentemente dentro o fuera de los anaqueles durante períodos extensos, y el gobierno ha tratado de solventar la situación por medio de operativos urgentes y esporádicos que consisten en importaciones administradas por el estado para ser vendidos con enormes pérdida para los contribuyentes y para la compañía pètrolera estatal. Estos bienes importados son a menudo de calidad inferior y hasta llegan dañados en ocasiones. Dichas importaciones a menudo son transportadas desde su país de origen por mar, en contenedores sin un apego estricto a los estándares y procedimientos internacionalmente establecidos para este tipo de embarques. Luego se venden al público en condiciones poco higiénicas en tiendas propiedad del estado. Los clientes allí deben hacer colas durante horas antes de ser atendidos.

Muchos establecimientos al detal han sido forzados a cerrar durante algunos días por tratar de vender bienes producidos nacionalmente por encima del precio regulado. Estos establecimientos al detal argumentan que si cumpliesen con la regulación se verían obligados a vender a pérdida. Muchas fábricas procesadoras de alimentos están a punto de ser nacionalizadas, bajo la acusación de acaparamiento, ya que se niegan a vender sus productos a los mayoristas por debajo del precio de costo. Ello ha conllevado en que muchos proveedores han suspendido la producción por completo y la han transferido a países vecinos. Por consiguiente la capacidad industrial venezolana se ha encogido por un alto porcentaje cuya estimación cuantitativa varía según diversas fuentes. Como la capacidad se ha reducido estructuralmente, el movimiento clásico en los libros de texto de la curva de oferta agregada para la economía venezolana continúa ocurriendo. Esto resulta en aún menores cantidades ofertadas a un precio mayor, asumiendo que la demanda agregada sea constante. Sin embargo, la demanda agregada de hecho se mueve a su vez hacia la derecha (pero quizás en menor magnitud que la del movimiento hacia la izquierda de la oferta agregada), debido a extensas pagos por transferencias gubernamentales y debido a la tasa natural de crecimiento de la población. El resultado final es una de las mayores tasas de inflación (aunque menor a la de Zimbabwe) durante el siglo XXI a nivel mundial.

Tal es el contexto con el que aquéllos que todavía creemos en el potencial de nuestro país debemos lidiar diariamente para crear y mejorar las condiciones para los negocios.

Caracas, 28 de julio de 2009

Rivero & Cooper, Inc.     rroopstr    

 

 

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